Un tribunal sud-coréen émet des mandats d’arrêt contre d’anciens responsables de la sécurité, dont le ministre de la Défense, pour avoir « malmené » un responsable tué par les troupes nord-coréennes

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Un tribunal sud-coréen émet des mandats d’arrêt contre d’anciens responsables de la sécurité, dont le ministre de la Défense, pour avoir « malmené » un responsable tué par les troupes nord-coréennes

  • Plusieurs mandats d’arrêt ont été émis en Corée du Sud contre des responsables de la sécurité
  • Une enquête est en cours sur les derniers instants de la vie de Lee Dae-jin
  • Les procureurs affirment que les autorités ont manqué à leur devoir de demander de l’aide lorsqu’il a été bloqué
  • Lee a été maintenu dans l’eau pendant près de six heures après avoir été retrouvé par des Nord-Coréens

Plusieurs mandats d’arrêt ont été délivrés en Corée du Sud à l’encontre d’un ancien ministre de la Défense et d’un ancien chef des garde-côtes pour leur mauvaise gestion présumée de la mort d’un employé de la pêcherie d’État.

Une enquête est en cours sur les derniers instants de la vie de Lee Dae-jin, avant qu’il ne soit tué par les troupes nord-coréennes il y a deux ans.

La décision d’émettre les mandats, ordonnée par le tribunal du district central de Séoul, était due au risque qu’ils fuient ou détruisent des preuves.

Les derniers documents de l’enquête parlementaire ont révélé que Lee avait été maintenu dans l’eau pendant près de six heures alors qu’il dérivait dans et hors de conscience après avoir été retrouvé par des Nord-Coréens.

Une enquête est en cours sur les derniers instants de la vie de Lee Dae-jin, avant qu’il ne soit tué par les troupes nord-coréennes il y a deux ans (stock image)

Ces documents allèguent que les garde-côtes et la marine ont violé les règles lors de leurs efforts de sauvetage initiaux en omettant de demander l’aide d’autres navires et des autorités à proximité.

Les deux responsables font face à des accusations de manquement au devoir, d’abus de pouvoir, de falsification de documents officiels et de dissimulation et de déformation des faits dans l’affaire.

La mort de Lee est devenue une question sensible en Corée du Sud, en partie à cause de la lutte de son frère pour effacer son nom.

L’administration précédente du président Moon Jae-in a décrit sa mort comme une tentative de défection ratée.

Ils ont dit qu’il avait tenté de faire défection en raison de ses dettes de jeu, de ses problèmes de santé mentale et d’une vie malheureuse.

Pendant ce temps, le vérificateur de l’État, le Conseil d’audit et d’inspection, a déclaré la semaine dernière qu’il avait également demandé aux procureurs d’enquêter sur 20 responsables de cinq agences, dont un ancien conseiller à la sécurité nationale et un ancien chef du service national de renseignement du gouvernement précédent, en relation avec l’affaire.

L'administration précédente du président Moon Jae-in a décrit sa mort comme une tentative de défection ratée

L’administration précédente du président Moon Jae-in a décrit sa mort comme une tentative de défection ratée

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