Une femme accusée de la mort d’une valise en Nouvelle-Zélande est la mère d’enfants tués


Le nom de la femme sud-coréenne inculpée après la découverte des restes de deux enfants dans des valises à Nouvelle-Zélande restera supprimé.

La juge Andrée Wiltens a supprimé le nom de la femme et tout élément d’identification.

Une femme accusée de la mort de deux enfants en Nouvelle-Zélande a vu son nom supprimé. (Lawrence Smith/Stuff)

Cependant, il peut être révélé qu’elle était la mère des enfants.

Des ordonnances de répression strictes empêchent également les médias de révéler l’identité des enfants. Ces ordonnances ont été rendues par le coroner à la suite d’une demande de membres de la famille élargie des enfants.

La femme se tenait tranquillement sur le quai, vêtue d’une veste à capuche beige et d’un t-shirt noir. Elle avait un interprète avec elle.

Elle a été placée en garde à vue sans plaidoyer.

Corps de valise
Les corps de deux enfants ont été retrouvés après une vente aux enchères en ligne. (David White / Trucs)

Un jour plus tôt, la femme était arrivée en Nouvelle-Zélande après avoir été extradée de Corée du Sud où elle était détenue depuis septembre.

Trois policiers se sont rendus en Corée du Sud pour ramener la femme en Nouvelle-Zélande.

La femme a été arrêtée dans une ville portuaire du sud de la Corée en septembre, sur la base d’un mandat d’arrêt délivré par un tribunal national après que la Nouvelle-Zélande a demandé son arrestation provisoire.

Les corps des enfants ont été découverts en août après qu’une famille néo-zélandaise ait acheté des biens abandonnés, dont deux valises, dans une unité de stockage lors d’une vente aux enchères en ligne.

Les enfants avaient entre cinq et 10 ans et étaient morts depuis des années, a indiqué la police.

Les valises étaient entreposées à Auckland depuis au moins trois ou quatre ans.

Selon la police sud-coréenne, la femme est née en Corée du Sud et a ensuite déménagé en Nouvelle-Zélande, où elle a obtenu la citoyenneté.

Les dossiers d’immigration montrent qu’elle était retournée en Corée du Sud en 2018.

La femme comparaîtra ensuite devant la Haute Cour d’Auckland le 14 décembre.

Cette histoire est initialement apparue sur Des trucs et est republié ici avec permission.



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