Une nouvelle loi forcerait 40% des trains à circuler pendant les grèves ferroviaires : les ministres élaborent des plans pour écraser le pouvoir des barons syndicaux militants


Une nouvelle loi forcerait 40% des trains à circuler pendant les grèves ferroviaires : les ministres élaborent des plans pour écraser le pouvoir des barons syndicaux militants

  • Des lois visant à créer des «niveaux de service minimaux» pourraient être présentées aux députés la semaine prochaine
  • Nuirait à la capacité des syndicats à coordonner les grèves – connues sous le nom de débrayages « synchronisés »
  • Seulement 11 % des services fonctionnaient pendant la grève de RMT et d’Aslef le 1er octobre
  • Les mesures pourraient être étendues aux enseignants, au personnel du NHS, aux facteurs et aux pompiers

Jusqu’à quatre trains sur dix seraient contraints de circuler pendant les grèves dans le cadre de plans élaborés par des ministres pour écraser le pouvoir des barons syndicaux militants.

Des sources ont déclaré que les responsables envisageaient de créer des «niveaux de service minimum» pouvant atteindre 40% lors des débrayages ferroviaires.

Les nouvelles lois, qui pourraient être présentées au Parlement la semaine prochaine, aligneront la Grande-Bretagne sur plusieurs pays européens qui ont des mesures similaires.

Ils nuiraient à la capacité des syndicats à coordonner les dates de grève – également connues sous le nom de débrayages « synchronisés ».

Seulement 11% des services fonctionnaient lorsque le RMT et Aslef ont uni leurs forces pour faire grève le 1er octobre sur les salaires et la sécurité de l’emploi.

De nouvelles lois pourraient être rédigées qui obligeraient 40% des services ferroviaires à fonctionner pendant les grèves. Sur la photo: Reading Station lors d’une journée de grève le 8 octobre

Seulement 11% des services fonctionnaient lorsque le RMT et Aslef ont uni leurs forces pour faire grève le 1er octobre au sujet des salaires et de la sécurité de l'emploi (photo)

Seulement 11% des services fonctionnaient lorsque le RMT et Aslef ont uni leurs forces pour faire grève le 1er octobre au sujet des salaires et de la sécurité de l’emploi (photo)

Le fait de ne pas faire circuler suffisamment de trains pourrait exposer les dirigeants syndicaux à des poursuites judiciaires.

Des sources ont souligné qu’un pourcentage fixe n’avait pas encore été décidé, mais qu’il se situerait entre 20 et 40 %.

Les mesures de «service minimum» pourraient être étendues aux enseignants, au personnel du NHS, aux facteurs et aux pompiers.

Le député conservateur Greg Smith, qui siège au comité des transports de la Chambre des communes, a déclaré: «Les syndicats des chemins de fer ont causé suffisamment de ravages. Le pays ne peut plus supporter leurs bêtises.



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