Une séquence vidéo de Paul Pelosi montre une violente attaque au marteau

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Des images de la caméra corporelle de la police publiées vendredi montrent Paul Pelosi, mari de la représentante américaine Nancy Pelosi, aux prises avec un agresseur, qui le frappe à plusieurs reprises à la tête avec un marteau.

M. Pelosi a été attaqué en octobre par un homme qui s’est introduit de force dans la maison du couple à San Francisco, en Californie. L’homme, identifié plus tard comme étant David DePape, a été arrêté sur les lieux.

Les images récemment publiées montrent des policiers répondant à un appel de détresse. On peut voir M. Pelosi répondre à la porte en pyjama et une chemise boutonnée.

On entend M. DePape dire que tout va bien, mais lorsque les agents lui ordonnent de poser le marteau, il commence à frapper M. Pelosi.

Les coups portés à M. Pelosi se produisent hors de vue et les officiers peuvent être vus en train de lutter contre M. DePape au sol dans le but de le menotter, tandis que M. Pelosi est allongé sur le sol à proximité.

La libération intervient après qu’une coalition d’agences de presse a demandé l’accès aux preuves que les procureurs ont présentées en audience publique le mois dernier.

Un juge d’un tribunal d’État a jugé mercredi qu’il n’y avait aucune raison de garder la vidéo secrète.

Mme Pelosi a déclaré aux journalistes qu’elle ne regarderait pas la vidéo.

« Je n’ai pas entendu l’appel au 911. Je n’ai pas entendu les aveux. Je n’ai pas vu le cambriolage. Et je n’ai absolument aucune intention de voir l’agression mortelle contre la vie de mon mari », a-t-elle déclaré.

Les preuves comprennent des parties de l’appel au 911 de M. Pelosi le 28 octobre, une vidéo des caméras de surveillance de la police du Capitole au domicile de San Francisco et des images de l’entretien de M. DePape avec la police.

M. DePape a plaidé non coupable dans des affaires étatiques et fédérales en cours. Il a été accusé de tentative de meurtre, de cambriolage résidentiel au premier degré, de maltraitance des personnes âgées, d’agression avec une arme mortelle, de séquestration et de menaces envers un membre de la famille d’un agent public.

Les agences ont contribué à ce rapport

Mis à jour : 27 janvier 2023, 21:19



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