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Istanbul (AFP) – La culture du thé pratiquée en Turquie et en Azerbaïdjan a été ajoutée jeudi à la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, reconnue comme un symbole « d’identité, d’hospitalité et d’interaction sociale ».
Le thé noir, pris à toute heure de la journée à travers la Turquie, est traditionnellement préparé dans de petits samovars et servi dans de petits verres en forme de tulipe qui peuvent être mis en coupe dans la paume de la main.
L’organisation culturelle de l’ONU a reconnu la forte signification sociale de la cérémonie dans sa déclaration annonçant la décision.
« La culture du thé en Azerbaïdjan et en Turquie est une pratique sociale importante qui montre l’hospitalité, construit et maintient des liens sociaux, et est utilisée pour célébrer des moments importants dans la vie des communautés », a-t-il déclaré.
Il est pris dans les bazars à travers le pays, où les vendeurs de thé arpentent encore les rues des villes servant la boisson aux commerçants et à leurs clients sur des plateaux en métal.
Dans certaines parties de l’Azerbaïdjan, a noté l’UNESCO, les gens ajoutent des épices et des herbes telles que la cannelle, le gingembre et le thym.
« La culture du thé est un élément essentiel de la vie quotidienne de toutes les couches de la société, fournissant un fort sentiment d’identité culturelle », indique la déclaration de l’UNESCO.
Parmi les autres pratiques traditionnelles reconnues jeudi par l’ONU figurent les « techniques traditionnelles de transformation du thé et les pratiques sociales associées » en Chine.
Le thé bu en Turquie est en grande partie récolté dans les collines du nord-est du pays surplombant la mer Noire.
Le célèbre café turc a été reconnu sur la liste de l’UNESCO en 2013, mais le fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Kemal Atatürk, a encouragé la consommation de thé pour soutenir la production nationale.
© 2022 AFP
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