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Jvoici de nombreux thèmes qui nagent dans le vaste et inégal de Sam Mendes Empire de Lumière, mais peu d’idées cohérentes les liant. Situé dans les années 1980, dans le genre de ville balnéaire britannique aux lèvres pincées et moralisatrice qui porte son ancienne gloire comme une longue robe de soirée obsolète, le film associe maladroitement les problèmes de santé mentale et la violence à motivation raciale, puis le lie avec un plutôt glib point sur le pouvoir fédérateur du cinéma.
Olivia Colman joue Hilary, une directrice de salle troublée dans un palais de photos en bord de mer, qui forme un lien romantique avec un employé beaucoup plus jeune (Micheal Ward). Colman est un talent phénoménal et Ward montre du potentiel, mais même ainsi, la relation entre eux a du mal à convaincre comme autre chose qu’un complot. C’est le premier film que Mendes a réalisé à partir de son propre scénario (il avait un crédit de co-écriture sur 1917), et malgré tout son flair visuel, gracieuseté du directeur de la photographie vétéran Roger Deakins, rien ne laisse penser que Mendes a les côtelettes d’écriture à la hauteur de ses compétences en réalisation.
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