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jeC’est excitant de rencontrer un jeune stand-up qui utilise la pièce Translations, of all things de Brian Friel, comme cadre pour sa première exposition solo. Moins excitant qu’il s’excuse pour le théâtre « gay » avant de le faire. C’est symptomatique des débuts de Vittorio Angelone, qui présente au public un comédien très doué, tout en essayant un peu trop d’être tout pour tout le monde. Il suffit que Translations – également le titre d’Angelone – soit une heure de comédie douce et réfléchie sur la relation entre l’Angleterre et l’Irlande, telle qu’elle est vécue par un immigrant de Belfast à Londres.
Il y a aussi du matériel sur sa famille d’immigrants italiens et des trucs jetables sur le « clicktivisme » dans une émission qui a vu Angelone nominée pour le meilleur nouveau venu à la frange d’Edimbourg l’année dernière. Certains documents pert couvrent son arrivée en Angleterre, où les indigènes voient l’anglicisme comme «l’usine par défaut» et se prélassent dans une ignorance béate des abus mondiaux de leur pays. Sa relation avec une petite amie anglaise est analysée, de manière amusante, pour son sous-texte colonial. Les préjugés anti-irlandais se révèlent vivants et violents.
Tout cela est livré avec une touche légère et une grande auto-ironie par un acte avec le savoir-faire et la confiance d’un comique deux fois plus expérimenté. Quand Angelone avoue avoir des problèmes d’anxiété, c’est une surprise, car son comportement sur scène ne trahit rien du tout.
Ce matériel l’embrouille un peu, remarquez, alors qu’il détaille ses expériences en thérapie tout en se distanciant de la comédie triste qui demande la sympathie de son public. Ce n’est pas nécessaire : triangulation mise à part, c’est un jeune comique accrocheur qui n’a rien à se reprocher.
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