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Soutenant que le gouverneur est lié par sa recommandation d’autoriser la libération prématurée des condamnés à perpétuité dans le 1991 L’affaire de l’assassinat de Rajiv Gandhile gouvernement du Tamil Nadu dirigé par le DMK a soutenu le plaidoyer des condamnés Nalini et RP Ravichandran devant la Cour suprême pour être libéré de prison.
Armés du verdict du tribunal suprême accordant le même soulagement à leur co-accusé AG Perarivalan, les requérants s’étaient d’abord adressés à la haute cour de Madras qui avait refusé leur plaidoyer, les amenant à s’adresser à la Cour suprême.
Invoquant son pouvoir extraordinaire accordé en vertu 142 de la Constitution pour rendre une justice complète, le 18 mai, la SC avait accordé un soulagement à Perarivalan et avait déclaré que la décision du gouverneur d’envoyer le plaidoyer au président était erronée et qu’elle n’avait aucun fondement constitutionnel.
Déposant sa réponse sur le plaidoyer des condamnés, le gouvernement de l’État a déclaré que le cabinet avait recommandé la remise des peines de sept condamnés au gouverneur en vertu de l’article 161 qui le lie.
La recommandation de l’État d’émettre la peine d’emprisonnement à perpétuité du pétitionnaire a été envoyée au gouverneur pour approbation le 11 septembre 2018, et la même a été maintenue pendant plus de deux ans et demi. Il a finalement été transmis par le gouverneur au président le 27 janvier de l’année dernière et il reste toujours indécis par le président depuis plus d’un an et neuf mois.
« La loi édictée par ce tribunal est claire et explicite. L’avis du cabinet d’État est contraignant pour le gouvernement ou pour les questions relatives à la commutation/rémission des peines. Aucune disposition de la Constitution ne nous a été signalée ni aucune réponse satisfaisante apportée quant à la source du pouvoir du gouverneur de renvoyer une recommandation faite par le cabinet de l’État au président de l’Inde. Une telle action est contraire au schéma constitutionnel élaboré ci-dessus », avait déclaré le banc en ordonnant la libération de Perarivalan qui avait passé 32 ans en prison dont 29 ans à l’isolement.
Le tribunal a également rejeté l’affirmation du Centre selon laquelle le président est l’autorité compétente pour décider de la demande de remise d’une personne condamnée en vertu de la loi centrale.
Armés du verdict du tribunal suprême accordant le même soulagement à leur co-accusé AG Perarivalan, les requérants s’étaient d’abord adressés à la haute cour de Madras qui avait refusé leur plaidoyer, les amenant à s’adresser à la Cour suprême.
Invoquant son pouvoir extraordinaire accordé en vertu 142 de la Constitution pour rendre une justice complète, le 18 mai, la SC avait accordé un soulagement à Perarivalan et avait déclaré que la décision du gouverneur d’envoyer le plaidoyer au président était erronée et qu’elle n’avait aucun fondement constitutionnel.
Déposant sa réponse sur le plaidoyer des condamnés, le gouvernement de l’État a déclaré que le cabinet avait recommandé la remise des peines de sept condamnés au gouverneur en vertu de l’article 161 qui le lie.
La recommandation de l’État d’émettre la peine d’emprisonnement à perpétuité du pétitionnaire a été envoyée au gouverneur pour approbation le 11 septembre 2018, et la même a été maintenue pendant plus de deux ans et demi. Il a finalement été transmis par le gouverneur au président le 27 janvier de l’année dernière et il reste toujours indécis par le président depuis plus d’un an et neuf mois.
« La loi édictée par ce tribunal est claire et explicite. L’avis du cabinet d’État est contraignant pour le gouvernement ou pour les questions relatives à la commutation/rémission des peines. Aucune disposition de la Constitution ne nous a été signalée ni aucune réponse satisfaisante apportée quant à la source du pouvoir du gouverneur de renvoyer une recommandation faite par le cabinet de l’État au président de l’Inde. Une telle action est contraire au schéma constitutionnel élaboré ci-dessus », avait déclaré le banc en ordonnant la libération de Perarivalan qui avait passé 32 ans en prison dont 29 ans à l’isolement.
Le tribunal a également rejeté l’affirmation du Centre selon laquelle le président est l’autorité compétente pour décider de la demande de remise d’une personne condamnée en vertu de la loi centrale.
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