« L’humour vient de la tragédie »

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Sonja Heiss porte le roman de Joachim Meyerhoff « Quand sera-ce enfin comme si ça n’a jamais été » au cinéma. Une conversation sur un projet extraordinaire, le tournage avec des personnes handicapées et la question de savoir quel livre le natif de Munich filmera ensuite.

Interviewé par

Bernard Bloechl

Il ne manquait pas grand-chose et Sonja Heiss aurait raté sa propre première à la Berlinale. Elle était récemment allée à Lanzarote pendant deux semaines, puis elle est venue Calima, la tempête du désert. « J’ai un peu paniqué de ne pas rentrer à la maison », confie le cinéaste au début de l’interview. Au final, cependant, tout s’est bien passé et le tapis rouge de son pays d’adoption était le sien. À juste titre, pourrait-on dire. Pendant cinq ans, elle a travaillé intensivement sur « Quand les choses redeviendront-elles enfin comme elles n’ont jamais été », « un gros projet », comme elle le dit. La première adaptation cinématographique du cycle de best-sellers de Joachim Meyerhoff a beaucoup demandé à Heiss, qui est né à Munich en 1976 et a étudié ici à l’école de cinéma (sortie en salles le 23 février). Dans le livre, Meyerhoff écrit de manière détaillée et pointue sur son enfance et sa jeunesse, qu’il a passées dans un établissement psychiatrique du Schleswig. Son père y avait été directeur. Dans l’interview, qui a eu lieu via Zoom, elle explique quels obstacles il y avait dans la mise en œuvre cinématographique et pourquoi le directeur de l’écriture est satisfait du résultat, mais a maintenant hâte de travailler à nouveau sur son nouveau roman.

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