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© Reuters.
PARIS (Reuters) – Le syndicat CGT au centre d’une grève d’une semaine chez le groupe pétrolier français TotalEnergies a voté samedi la poursuite du débrayage, a déclaré le représentant syndical CGT Fabien Cros.
Bien que le gouvernement ait réquisitionné le personnel clé de la raffinerie pour faire circuler à nouveau l’essence, près d’un tiers des stations-service ont toujours des problèmes d’approvisionnement.
Les données du ministère de l’Énergie ont montré samedi que 27,3% des stations-service françaises sont confrontées à des problèmes d’approvisionnement, contre 28,5% la veille et 30,85% mercredi, lorsque la réquisition a commencé.
Les syndicats plus modérés CFDT et CFE-CGC de TotalEnergies – qui représentent la majorité des salariés – ont déclaré avoir convenu d’une augmentation de salaire de 7% et d’un paiement de prime compris entre 3 000 euros et 6 000 euros (2 921 $ – 5 842 $).
TotalEnergies a confirmé l’accord vendredi. Bien que l’accord soit juridiquement contraignant en vertu du droit français, l’impasse de la CGT signifie que la grève pourrait se poursuivre pendant un certain temps encore.
La CGT avait précédemment déclaré qu’elle souhaitait une augmentation des salaires de 10%, citant l’inflation et les bénéfices exceptionnels de l’entreprise grâce à la crise énergétique mondiale.
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