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JLe tournage du huitième album de Meg Remy en tant que US Girls se déroulait dans le contexte de la grossesse et de la naissance de jumeaux, il est donc peut-être inévitable que Bénissez ce gâchis est informé par de telles expériences qui changent la vie. En effet, Pump commence même par un échantillon de son tire-lait, avant que Rémy ne fasse référence aux césariennes et à l’allaitement, et se demande : « Alors, de quoi parle-t-on ? Corps, naissance, mort, machines. Ailleurs, Screen Face dissèque les relations qui existent uniquement sur les téléphones et à quel point elles se comparent mal au toucher et aux odeurs de la vie réelle (« Pas question que ce soit un rendez-vous / Mon écran n’est pas votre visage »). Les stylismes disco opulents de Tux (Your Body Fills Me, Boo), quant à eux, accompagnent les rêveries désespérées d’un smoking rarement porté, « seul, étouffant dans ce sac en plastique ».
Stylistiquement, le St Vincent-adjacent Bénissez ce gâchis est un peu éparpillé, avec Remy le pied le plus sûr sur la pop directe de St. James Way. Son matériel plus expérimental peut être plus lourd : le funk pétillant de la première moitié de Pump cède la place à une coda interminable bien plus ennuyeuse qu’intelligente.
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