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HIl s’agit d’un documentaire d’art et d’essai du Maroc qui se déplace à une vitesse géologique, exigeant jusqu’à la moindre parcelle de votre attention. C’est un essai cinématographique sur les origines de la vie humaine, mais pour moi, de nombreuses scènes me paraissaient trop opaques et lourdes pour vraiment approfondir les idées.
Cela commence dans le vide désolé du désert marocain, où un berger nomade du nom de Mohamed raconte avoir observé une pluie de météores : un feu bleu éclairant le ciel suivi d’un bruit si fort que les gens pensaient qu’il s’agissait d’un tremblement de terre ; le sol sous lui tremblait. Mohamed vit sous une tente avec sa famille, mais son mode de vie est en train de disparaître. La terre est si sèche (probablement à cause du changement climatique) qu’il n’y a pas assez d’herbe pour faire paître les moutons. Alors Mohamed rejoint les hommes à la recherche des débris de la pluie de météorites. Le réalisateur Adnane Baraka utilise une technique artificielle pour que Mohamed et sa famille se disent leurs pensées et leurs sentiments les plus intimes dans une voix off chuchotée, comme un film de Terrence Malick.
Ensuite, c’est au tour d’Abderrahmane, un scientifique de son laboratoire d’analyser les restes d’un morceau de roche spatiale de la douche, à la recherche d’indices sur les origines de la vie. Il engage un collègue junior dans une conversation si dense que je suis reparti avec une seule pépite de fait : un morceau de roche noire (il ressemble à de la vieille bouse animale séchée) contient de la poussière qui pourrait être « plus ancienne que le soleil ».
Ensuite, nous sommes de retour avec Mohamed et sa recherche de débris de météorite, et quelques longues prises répétitives d’une lenteur déconcertante dans le désert. Le film se termine par quelques plans saisissants (et très Malick-y) de ce qui ressemble à des images en gros plan du soleil qui brûle. Mais c’est une montre lourde, qui a fonctionné sur moi comme un somnifère cinématographique.