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La nomination par l’Iran d’un ambassadeur après une interruption de sept ans intervient dans le cadre de son rapprochement avec l’Arabie saoudite.
Téhéran, Iran – L’Iran a nommé un nouvel ambassadeur aux Émirats arabes unis peu de temps avant une réunion prévue des ministres des Affaires étrangères de l’Iran et de l’Arabie saoudite en Chine.
Les médias d’État iraniens ont confirmé mardi que le ministère des Affaires étrangères avait choisi Reza Ameri comme nouvel envoyé aux Émirats arabes unis après une interruption de plus de sept ans.
Ameri aurait été directeur du bureau des expatriés du ministère des Affaires étrangères et ancien ambassadeur en Algérie, au Soudan et en Erythrée.
Les Émirats arabes unis, qui ont une longue histoire de liens économiques avec l’Iran, avaient dégradé leurs relations diplomatiques avec Téhéran après que l’Arabie saoudite a fermé ses missions diplomatiques en 2016 lorsque des manifestants les ont attaqués à la suite de l’exécution d’un éminent dirigeant chiite par le royaume à majorité sunnite.
Mais l’allié saoudien a de plus en plus réengagé l’Iran ces dernières années et a nommé un ambassadeur à Téhéran l’année dernière.
La décision de l’Iran de nommer un envoyé des Émirats arabes unis est intervenue deux jours avant une réunion prévue entre le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amirabdollahian et son homologue saoudien, Faisal bin Farhan, à Pékin jeudi.
Conformément à un accord trilatéral signé avec la Chine à Pékin le mois dernier, les deux hommes devraient discuter des mesures pratiques pour rouvrir prochainement leurs missions diplomatiques.
Entre-temps, l’administration du président iranien Ebrahim Raisi a déclaré avoir accepté une invitation pour une visite d’État en Arabie saoudite, dont la date reste à confirmer.
Amirabdollahian a déclaré à Al Jazeera la semaine dernière que l’Iran prévoyait également d’inviter les dirigeants saoudiens.
L’Iran s’est également engagé dans des efforts pour améliorer ses relations avec d’autres nations arabes de la région, qui se sont à leur tour ouvertes à un dialogue diplomatique avec le président syrien Bashar al-Assad, un proche allié de Téhéran.