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Dans une interview accordée à FRANCE 24 à New York, l’ancien tsar américain de la lutte contre le terrorisme, Richard Alan Clarke, a décrit les principales menaces auxquelles sont confrontés les États-Unis dans le cyberespace et a averti que les cyber-armes russes pourraient potentiellement « faire beaucoup de dégâts » aux États-Unis. Pour expliquer pourquoi cela ne s’est pas produit jusqu’à présent, il a cité une « règle non écrite » qu’il pense que les États-Unis et la Russie suivent tous les deux : « [if] tu ne m’attaques pas, je ne t’attaquerai pas ».
Clarke, qui a servi comme Tsar américain du contre-terrorisme entre 1998 et 2003, également a expliqué pourquoi la Chine n’a jamais causé de dommages significatifs au cyberespace américain : les autorités chinoises savent qu’une cyberattaque majeure contre les États-Unis déclencherait une riposte « traditionnelle » de la part des États-Unis : « bombes, missiles, navires et avions ».
L’ancien tsar américain du contre-terrorisme a mis en garde contre la cyberguerre pendant des décennies, avant que ce ne soit à la mode. Il pense là sont « clairement des menaces qui seront aggravées par l’intelligence artificielle (IA) à moins qu’elle ne soit contrôlée et réglementée ».
Clarke s’inquiète notamment de la perspective d’une « guerre hybride », qui utilise la désinformation et les cyber-outils propulsés par l’IA, ainsi que la subversion politique.