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Deuxième test de drone sous-marin en un peu plus de deux semaines alors que Pyongyang poursuit ses efforts pour étendre et moderniser son armement.
La Corée du Nord a effectué un autre test d’un drone d’attaque sous-marin à capacité nucléaire, selon les médias officiels.
Le pays a testé le soi-disant Haeil-2 plus d’une semaine après avoir divulgué un nouveau système de drone sous-marin baptisé Haeil-1, qui se traduit par «tsunami» en coréen, et est conçu pour entreprendre des attaques sournoises dans les eaux ennemies.
Les analystes sont sceptiques quant à savoir si le véhicule sous-marin est prêt à être déployé, mais disent que la Corée du Nord est impatiente de montrer ses diverses armes contre les États-Unis et la Corée du Sud, qui ont mené des exercices militaires à grande échelle ces dernières semaines.
Le dernier test a eu lieu du 4 au 7 avril, ont rapporté samedi les médias d’État KCNA.
« Le drone d’attaque nucléaire sous-marin Haeil-2… a parcouru 1 000 km [621 miles] de distance sous-marine simulée », a déclaré l’agence, ajoutant que l’ogive de test avait également explosé.
« Le test a parfaitement prouvé la fiabilité du système d’arme stratégique sous-marine et sa capacité d’attaque fatale », indique le rapport.
La Corée du Nord a effectué un nombre record d’essais d’armes en 2022 et a maintenu son élan militaire cette année, affirmant qu’elle doit renforcer ses défenses parce que les exercices américano-sud-coréens, qui comprenaient cette semaine au moins un B-52 à capacité nucléaire américaine bombardier stratégique, sont des répétitions pour l’invasion.
Le 23 mars, la Corée du Nord a affirmé avoir testé un drone d’attaque nucléaire sous-marin capable de déclencher un « tsunami radioactif ». À cette occasion, les médias officiels ont déclaré que le drone avait navigué sous l’eau pendant 59 heures et 12 minutes avant d’exploser.
L’imagerie satellite a également indiqué un niveau élevé d’activité dans le principal complexe nucléaire de la Corée du Nord après que le dirigeant Kim Jong Un a ordonné l’augmentation de la production de matières nucléaires de qualité militaire.
L’année dernière, la Corée du Nord s’est déclarée puissance nucléaire « irréversible », tandis que Kim a dit à l’armée nord-coréenne d’intensifier les exercices en vue d’une « vraie guerre ».
Les pourparlers sur la dénucléarisation sont au point mort depuis l’effondrement du deuxième sommet de haut niveau entre Kim et le président américain de l’époque, Donald Trump, en 2019.
Pyongyang est interdit de tester des missiles balistiques en vertu des résolutions des Nations Unies et est également soumis à des sanctions internationales pour ses programmes d’armement.