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Deloitte et EY ont chacun environ 1 lakh d’employés en Inde. C’est un quart ou plus de leur effectif mondial. PwC compte environ 50 000 employés, KPMG plus de 40 000. Pour Deloitte et PwC, la moitié ou plus de leurs employés indiens travaillent dans le domaine de la technologie. Pour EY et KPMG, c’est environ un tiers.
Une grande partie de ces embauches technologiques s’est produite au cours des dernières années, lorsque la pandémie de Covid a provoqué une augmentation massive des dépenses technologiques mondiales. Deloitte dit qu’ils prévoient d’embaucher 50 000 autres technologues au cours des trois prochaines années. Dans plusieurs domaines, ces cabinets comptables traditionnels concurrencent désormais directement les sociétés de services informatiques indiennes, comme Accenture et Capgemini. Certains d’entre eux affirment que leur offre dépasse largement celle de n’importe quelle société de services informatiques en Inde.
« Les clients viennent nous voir en disant qu’ils veulent transformer l’organisation. Ils veulent que nous leur disions à quoi devrait ressembler leur plan d’affaires et comment le mettre en œuvre au mieux. Nous travaillons donc avec ces entreprises de bout en bout », explique Sathish Gopalaiah, président du conseil chez Deloitte en Asie du Sud.
L’équipe de consultants aide à construire le plan d’affaires, l’équipe technique conseille le client sur les systèmes qui ajouteront de la valeur à l’entreprise. Après toutes ces discussions, le processus de conception et de maintenance de ces systèmes commence.
Mahesh Makhija, leader du conseil en technologie chez EY, affirme que son équipe de techniciens non seulement crée, mais aide également à intégrer des systèmes. Une grande partie de leur travail se déroule dans le secteur des services financiers. Ici, EY crée, par exemple, un système dans lequel l’institution financière peut s’assurer que seules les personnes ayant un certain type de cote de crédit peuvent utiliser leurs services, puis l’intégrer aux applications de fournisseurs tels que l’achat immédiat, le paiement ultérieur.
Toutes ces entreprises emploient des spécialistes du cloud, des développeurs d’applications, des spécialistes de la science des données, de l’automatisation, de l’IA, du DevOps et des solutions SAP, Oracle, Microsoft, Salesforce, Workday, ServiceNow.
Servir l’Inde
EY et PwC ont tous deux des équipes dédiées pour travailler pour des clients en Inde. Makhija dit que c’est l’un des autres différenciateurs entre eux et les entreprises de services informatiques traditionnelles, qui se concentrent sur les clients étrangers.
EY India, dit-il, s’occupe également de construire la pile technologique des centres EY aux Philippines, en Australie et ailleurs. EY India compte 30 000 personnes dans sa pratique technologique, dont la moitié sont des consultants techniques et l’autre moitié se trouvent dans les centres de prestation mondiaux qui s’occupent des exigences des entreprises EY à travers le monde. L’entreprise a triplé ses talents technologiques depuis la pandémie de Covid.
PwC dispose d’une équipe dédiée de 17 500 techniciens travaillant uniquement sur les clients indiens et de 10 000 autres sur les livraisons internationales. Arnab Basu, leader du conseil chez PwC, déclare que la pratique technologique en Inde « se développe à un rythme soutenu avec une base solide de talents numériques, de spécialistes du domaine et d’embauches latérales ». En 2022, PwC India a ouvert trois nouveaux bureaux à Bhubaneswar, Jaipur et Noida pour se concentrer sur l’embauche de talents locaux hautement qualifiés.
KPMG a commencé à servir des clients indiens en 2005. La vague technologique a ensuite vu les entreprises de télécommunications mettre en œuvre de vastes programmes à travers le pays. « Il y avait de nombreuses exigences concernant la gestion de la fraude, le CRM (gestion de la relation client) et plusieurs autres services », explique Akhilesh Tuteja, responsable mondial de la cybersécurité et du TMT (technologie, médias et télécommunications) chez KPMG en Inde.
Les banques n’étaient pas automatisées à l’époque et KPMG en a profité pour se développer en Inde. La dynamique technologique de KPMG s’est considérablement accélérée en 2018. Les données ont été un moteur important. Il en va de même pour la cybersécurité, où l’entreprise a constaté une énorme demande de systèmes de gestion d’identité et d’exigences en matière de gouvernance, de risque et de conformité. « Un troisième grand moteur était le besoin croissant de technologies orientées client, plutôt que de simples technologies de back-office », déclare Tuteja.
La cybersécurité est une pratique de 1,8 milliard de dollars pour KPMG aujourd’hui, desservant même des clients mondiaux en Inde. Tuteja dirige cette entreprise depuis l’Inde. Le cabinet dispose d’un pôle d’excellence sur la confiance numérique, sur l’analyse de données et les technologies émergentes. « Nous avons également un centre solide pour l’apprentissage automatique et les risques financiers », déclare Tuteja.
Produits de construction
Les entreprises disposent également de centres d’excellence pour le développement de produits. EY a ces centres dans plusieurs villes indiennes, et les techniciens de ces centres ont même commencé à travailler sur des solutions autour de ChatGPT.
PwC a créé un laboratoire de bricolage technologique qui est utilisé pour incuber de nouvelles technologies et co-créer des solutions avec les clients et les partenaires technologiques. L’entreprise évangélise ces technologies dans les forums de l’industrie et publie des articles sur le leadership éclairé. Il organise des événements clients pour montrer comment les clients peuvent tirer parti des technologies pour créer des preuves de concepts. Actuellement, il se concentre sur la création de solutions autour du Web 3.0, du métaverse, de la 5G, de l’informatique de pointe, de l’informatique quantique et de l’IA générative.