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Oorsque l’auteure-compositrice-interprète finlandaise Alma-Sofia Miettinen, alias Alma, a percé en 2017, c’était avec une énergie d’évasion prête pour le club. Son single à succès, Chasing Highs, superposait un motif de synthé de construction et une ligne de basse percutante avec un refrain déchirant qui a attiré l’attention de Charli XCX et du super-producteur suédois Max Martin. Premier album des années 2020, L’as-tu vue ?, continué en grande partie dans la même veine, mais le suivi Machine à remonter le temps met désormais de côté les bangers pop enivrants au profit d’une écriture de chansons introspective qui produit des résultats inégaux.
Travaillant avec l’une des productrices internes de Martin, Elvira Anderfjärd, Miettinen canalise l’influence pop suédoise sur le changement de tonalité vif de style Abba de Tell Mama et sur les lignes de cordes ascendantes de Summer Really Hurt Us. Les tendres confessionnaux viennent, quant à eux, sur la ballade au piano Hey Mom, Hey Dad, où Miettinen aborde les pressions du maintien d’une famille heureuse, tandis que I Forgive Me oppose son amour-propre à l’absolution des autres. Cela montre une maturité admirable pour la jeune femme de 27 ans, mais si ses paroles peuvent être plus nuancées, la musique devient homogène sans le bruit dansant de son travail précédent. Machine à remonter le temps est le disque d’un artiste en quête de sens mais au prix du plaisir.