Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Le Premier ministre péruvien Alberto Otárola a déclaré samedi que le dialogue avec les gouvernements d’autres pays avait « avancé » en discutant de ce qu’il appelle une « crise migratoire ».
Des centaines de personnes restent bloquées, incapables de traverser le Pérou dans le but de retourner dans leur pays d’origine, le Venezuela.
La tension entre migrants et citoyens péruviens cherchant à passer du côté chilien a provoqué des affrontements à coups de pierres plus tôt samedi.
Une personne a été blessée.
Les autorités consulaires vénézuéliennes sont apparues dans la région dans le but d’aider leurs compatriotes.
Les migrants ont été confrontés au climat inhospitalier du désert d’Atacama, l’un des plus arides de la planète, avec une chaleur le jour et un froid intense la nuit.
La plupart d’entre eux ne sont pas équipés pour ces conditions défavorables.
Parmi les centaines de migrants bloqués, il y a des familles avec enfants et des personnes en situation de grande vulnérabilité, selon les organisations internationales, dont l’ONU.
Le Chili a déclaré vendredi qu’il commencerait à enregistrer tous les migrants sans papiers qui souhaitent quitter le pays, et le Pérou a commencé à laisser passer certains d’entre eux jusqu’à ses bureaux frontaliers.