Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsBplume de sang, du romancier et écrivain primé Patrick McGuinness – également universitaire (il enseigne le français à Oxford) – a été provoqué par la mort de sa mère. Il n’a publié aucune poésie depuis 13 ans, jusqu’à présent et ce merveilleux recueil. Il écrit sur le deuil comme effacement. Les poèmes eux-mêmes semblent légèrement surpris par leur existence, comme si on leur donnait une demi-chance, ils pourraient se retirer de la page. Regarder la photographie de sa mère, dans Mother As Mirror, lui donne l’impression que « j’étais l’illusion ». Sure Things explique habilement qu’il n’existe pas de « sûr » et, comme la jetée qui s’avère ne pas exister, il se sent incapable de s’accrocher à ses propres mots. Dans Factory for Sad Thoughts, une pièce en prose, il propose de manière ludique : « De tous les poèmes que j’ai jamais écrits, c’est celui que je n’ai pas écrit.Chaque mot qui traverse la frontière dans la poésie vaut la peine d’être lu. J’ai adoré Aujourd’hui est déjà fini, dans lequel il se souvient de l’approche inutile de sa mère pour ranger. Il n’a pas besoin de reconnaître la pensée inévitable qu’elle a elle-même été éliminée. Et il a encore à ajouter : « …elle s’est éclaircie autour de moi – /pas après moi mais avant./Effacer mes traces au fur et à mesure… » (effacement à nouveau). C’est un exploit d’écrire des poèmes d’une telle légèreté. L’équilibre, le charme et l’esprit de l’écriture sont remarquables, notamment à cause du déséquilibre de sa mère (il y a des poèmes qui font allusion avec sensibilité à l’hôpital psychiatrique et à son ECT).Sa mère était belge et francophone, son père irlandais. Des questions détournées sur la double vie d’être bilingue se posent mais cette collection est plus sur l’écriture comme survie : si vous ne trouvez pas les mots dont vous avez besoin, dans n’importe quelle langue, ce que vous avez à dire disparaîtra. Dans Factory for Sad Thoughts, il décrit avoir rêvé qu’il ne peut pas lire sur les lèvres de sa mère mourante : « Je ne suis même pas sûr que ce soient des mots et dans quelle langue ». Dans Mother As Bird, il la compare à un moineau qui se perd dans l’hôte : « Elle est partie par centaines, m’a laissé seul par milliers, / et quand ses ailes se sont ouvertes, elles ont fermé le ciel. »
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