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La prochaine série de sanctions de l’UE contre la Russie vise à combler les lacunes et à réprimer le contournement et pourrait cibler les entreprises et les pays qui aident la Russie à acquérir des biens sanctionnés.
Une semaine diplomatique intense commence mardi pour l’UE avec le bloc déterminé à placer le soutien à l’Ukraine et les sanctions contre la Russie au centre des discussions.
Le premier sommet de la semaine aura lieu à Reykjavik, en Islande, où les dirigeants de 46 membres du Conseil de l’Europe convoquera. Les dirigeants de la France, de l’Allemagne, de l’Italie et les chefs de la Commission et du Conseil européens se rendront ensuite à Hiroshima, au Japon, pour un sommet des dirigeants du G7. Ces deux derniers se rendront ensuite à Séoul pour un sommet UE-Corée du Sud.
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a déclaré aux journalistes lundi que le principal message sous-jacent que l’UE voudra faire passer est la détermination unie du bloc à soutenir l’Ukraine aussi longtemps qu’il le faudra pour lutter contre l’invasion russe et à assurer Moscou est tenu pour responsable de la guerre et des atrocités commises.
Lors du sommet du G7, où les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada et le Japon sont également assis à la table, l’UE souhaite que les membres fassent le point sur les paquets de sanctions déjà déployés contre la Russie ainsi que sur ceux en préparation.
Les pays de l’UE sont actuellement négocier une 11e série de sanctions visant à combler les lacunes et à lutter contre le contournement. Les nouvelles mesures permettront au bloc de cibler les entreprises et les pays qui sont censés aider la Russie à échapper aux sanctions.
L’une des inquiétudes est que certains pays tiers importent des biens de l’UE sanctionnés puis les exportent vers la Russie, permettant ainsi à Moscou d’acquérir une technologie à double usage pouvant être utilisée par l’armée malgré l’interdiction d’exportation du bloc.
Von der Leyen a déclaré à propos de la mesure prévue qu' »il s’agit essentiellement d’un avertissement que nous sommes sérieux au sujet de notre sanction que nous pourrions interdire à ces marchandises d’aller dans ce pays tiers s’il existe des preuves claires qu’il s’agit d’un contournement des sanctions et des livraisons livrables vers la Russie . »
Elle a également déclaré que la série de sanctions proposées pourrait étendre la liste des produits de l’UE interdits de transit via la Russie.
« Nous constatons qu’il y a un écart entre ce qui commence dans l’Union européenne, transite par la Russie et se termine ensuite dans le pays tiers. Et par conséquent, nous discutons de manière dissuasive de la question de savoir s’il devrait y avoir une telle interdiction de transit. Il y a plusieurs points de vigilance au sein du mécanisme pour s’assurer qu’il est justifié », a-t-elle ajouté.
Mais l’UE sait qu’elle doit également se concentrer sur la sensibilisation, a déclaré Michel, en particulier avec les pays en développement non seulement pour renforcer les liens mais aussi pour expliquer les sanctions contre la Russie.
Cette question sera principalement abordée lors du sommet du G7 où huit autres pays – l’Australie, le Brésil, les Comores, l’Inde, l’Indonésie, la Corée du Sud, les îles Cook et le Vietnam – ont également été invités.
Quelques pays du Sud global ont répété le récit russe selon lequel l’Occident met en danger la sécurité alimentaire mondiale malgré le fait que les produits agroalimentaires russes n’ont pas été sanctionnés et peuvent donc être exportés dans le monde entier et transiter par l’UE.
« Nous discuterons ouvertement et franchement des raisons pour lesquelles nous sommes convaincus que ces sanctions sont nécessaires et justifiées. La propagande russe est construite sur des mensonges et des conspirations. Nous ripostons avec des faits et des chiffres », a déclaré Michel aux journalistes.
« Les pays en développement et émergents ont exprimé leur inquiétude quant au fait que le G7 se concentre trop sur l’Ukraine et ne prête pas suffisamment attention à ses besoins et priorités. Et nous avons entendu leurs préoccupations. Nous voulons établir des partenariats solides avec les pays en développement et émergents d’une manière qui soit mutuellement bénéfique.
La Chine sera l’autre sujet principal alors que l’UE et d’autres alliés occidentaux cherchent à « réduire les risques » en réduisant les dépendances économiques vis-à-vis de Pékin. L’UE souhaite par exemple renforcer son arsenal pour garantir que les infrastructures et technologies clés restent sous contrôle européen avec le déploiement d’un filtrage des investissements sortants ou de contrôles avancés des exportations.
Enfin, la transition verte et la nécessité d’accélérer le déploiement des technologies propres devraient également être à l’ordre du jour des différents sommets.