Customize this title in frenchL’ancien président tunisien Rached Ghannouchi condamné à un an de prison

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Le leader du parti d’opposition tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi, a été condamné lundi à un an de prison par un juge tunisien.

L’ancien président de la Chambre est en détention provisoire depuis plus d’un mois et n’a pas comparu devant le tribunal pour le prononcé de la peine.

Son parti a déclaré que le juge du tribunal de première instance de Tunis l’avait condamné à un an de prison et à une amende de 1 000 dinars tunisiens (326 dollars) pour « apologie du terrorisme ».

« Le juge a rendu le verdict sans entendre la défense de l’avocat. »

M. Ghannouchi, 81 ans, a comparu fin février devant un tribunal après qu’un syndicat de la police a porté plainte contre lui, l’accusant d’avoir traité des officiers de « tyrans ».

L’affaire fait référence à un éloge funèbre prononcé par le chef d’Ennahda lors des funérailles d’un membre du parti en février 2021.

Ennahda a nié à plusieurs reprises les allégations relatives à l’affaire et a déclaré que l’utilisation du mot « tyran » avait été sortie de son contexte.

« M. Ghannouchi, dans son allocution, a mentionné que M. Laabar [the deceased] était quelqu’un qui avait lutté pour la liberté, qui n’avait craint ni la pauvreté ni le dirigeant ni le dictateur, ce qui faisait référence à la lutte pacifique du défunt contre les dictatures des présidents [Habib] Bourguiba et [Zine El Abidine] Ben Ali », a déclaré Ennahda.

Un nombre croissant de personnalités de l’opposition ont été arrêtées en Tunisie ces dernières semaines, dont des membres du Front de salut national et son principal membre, Ennahda.

Les arrestations et les poursuites, qui impliquaient également des hommes d’affaires et des journalistes, ont suscité l’inquiétude des États-Unis, du Parlement européen, d’Amnesty International et de Human Rights Watch.

Le président tunisien Kais Saied a gelé le Parlement en juillet 2021 et a imposé à lui seul des changements radicaux dans le système politique du pays.

M. Saied a décrit à plusieurs reprises les détenus comme des terroristes et les a accusés, sans apporter de preuves, de comploter contre la sécurité nationale de la Tunisie.

Les critiques l’ont accusé de se mêler de l’autorité judiciaire et d’utiliser son autorité pour influencer l’enquête.

Mis à jour : 15 mai 2023, 22 h 22



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