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Une avocate de premier plan a reçu des dommages-intérêts «substantiels» et des excuses du Times pour un rapport trompeur affirmant qu’elle avait été censurée par son régulateur professionnel.
L’histoire, publiée en novembre, concernait la controverse sur Dinah Rose KC représentant le gouvernement des îles Caïmans pour s’opposer au mariage homosexuel dans une affaire devant le conseil privé.
Rose, la présidente du Magdalen College d’Oxford, a été critiquée par les militants des droits LGBTQ + pour avoir pris l’affaire. Elle a rétorqué que c’était son obligation professionnelle d’accepter l’affaire en vertu de la règle du « rang de taxi », mais cela a été contesté dans un article du Times intitulé « Les chefs de la loi statuent contre le directeur du Magdalen College dans la ligne des droits des homosexuels aux Caïmans », ce qui l’a amenée à poursuivre le journal et son rédacteur juridique, Jonathan Ames.
Le rapport cite le Bar Standards Board (BSB) comme ayant déclaré à Colors Caribbean, un groupe de campagne, que l’interprétation de Rose des règles de classement des taxis « pourrait éventuellement constituer une preuve d’insouciance » si « elle est prise à son maximum ».
Dans une déclaration lue mardi devant la Haute Cour du centre de Londres, l’avocat de Rose, William Bennett KC, a déclaré qu’elle avait été « choquée et bouleversée » par l’article.
« L’article faisait état d’affirmations d’un groupe de campagne pour les droits des homosexuels basé aux îles Caïmans selon lesquelles Mme Rose avait prétendu à tort qu’elle avait été professionnellement obligée d’accepter les instructions alors qu’en fait elle ne l’avait pas fait », a-t-il déclaré.
Le BSB a publié une déclaration publique le lendemain de l’article du Times, clarifiant sa position et s’excusant auprès de Rose « si cela n’a pas été suffisamment clair ».
Une excuse publiée dans le Times mardi a déclaré: « Nous acceptons qu’en vertu des principes constitutionnels qu’elle [Rose] citée, le règlement du barreau ne lui permettait pas de refuser un mémoire pour le gouvernement des îles Caïmans dans une affaire concernant le droit au mariage homosexuel. L’article était donc trompeur. Nous nous excusons auprès de Mme Rose pour la détresse causée et avons accepté de lui payer des dommages-intérêts substantiels et des frais de justice.