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La police allemande a ouvert une enquête sur l’empoisonnement présumé de personnalités de l’opposition russe à Berlin, selon les médias.
Deux militants qui ont participé à une conférence organisée par Mikhaïl Khodorkovski, l’un des principaux critiques du président russe Vladimir Poutine, les 29 et 30 avril, ont par la suite signalé des symptômes d’empoisonnement, selon le journal allemand Welt am Sonntag.
La police allemande a confirmé à Welt et à l’AFP qu’une enquête était en cours mais n’a pas mentionné l’implication présumée de la Russie dans les deux incidents.
La responsable de la Free Russia Foundation, Natalia Arno, s’est identifiée comme l’une des victimes de l’empoisonnement présumé. « On soupçonne que lors de mon récent voyage en Europe, j’ai été empoisonnée, peut-être par un agent neurotoxique, un (voire plus d’un) service de renseignement occidental enquête », a-t-elle écrit sur Facebook.
Arno a déclaré qu’elle avait commencé à ressentir des « symptômes étranges » après avoir senti une odeur inhabituelle dans sa chambre d’hôtel dans une ville européenne non identifiée où elle avait tenu une discussion publique, se souvient l’activiste.
Selon le portail russe Agentstvo, un autre journaliste non identifié qui avait quitté la Russie a ressenti des symptômes similaires pendant les jours de conférence et a été soigné à l’hôpital de la Charité à Berlin.
Arno a laissé entendre que le régime russe était derrière l’empoisonnement présumé. « L’ennemi a de longs tentacules, il y a la possibilité de nous mettre en danger en dehors de la Russie, nous devons donc toujours être vigilants, mais ne pas avoir peur », a-t-elle écrit.
Les agents de Moscou sont soupçonnés d’avoir empoisonné les détracteurs du régime, tant au pays qu’à l’étranger. Le GRU du renseignement militaire russe a empoisonné avec l’agent neurotoxique Novichok l’ancien espion Sergei Skripal et sa fille Yulia à Salisbury, au Royaume-Uni, en 2018, selon les autorités britanniques.
Des responsables des services secrets russes FSB auraient également été à l’origine de l’empoisonnement du chef de l’opposition Alexei Navalny en Russie en août 2020, après quoi il a subi un traitement de longue durée et une rééducation à l’hôpital de la Charité à Berlin.