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Francfort Ford s’est assuré l’approvisionnement à long terme de la matière première des batteries au lithium pour la construction de voitures électriques au Canada. Le deuxième constructeur automobile américain a annoncé lundi qu’un contrat avait été conclu avec la société Nemaska Lithium pour la fourniture de produits au lithium, qui comprenaient également de l’hydroxyde de lithium, important pour les batteries.
Avec cet accord, Ford veut étayer son plan visant à augmenter la production de voitures à batterie à deux millions d’unités par an d’ici la fin de 2026. Plus tôt cette année, le géant américain de l’automobile a rejoint PT Vale et Zhejiang Huayou Cobalt pour une usine de traitement de nickel de 4,5 milliards de dollars en Indonésie.
D’autres constructeurs automobiles signent aussi actuellement des contrats pour sécuriser leur approvisionnement en matières premières au Canada. Volkswagen, par exemple, veut y construire sa plus grande usine de cellules de batterie. Le groupe américano-européen Stellantis a des projets similaires, mais se dispute actuellement avec le gouvernement canadien au sujet des subventions.
Le partenaire de Ford, Nemaska Lithium, est détenu à parts égales par la Société de développement économique de la province de Québec et le groupe américain Livent. Avec l’annonce de l’accord à l’occasion de sa journée investisseurs, Ford veut dissiper les doutes des investisseurs sur ses ambitieux projets électriques.
A cette occasion, le groupe a également réaffirmé l’objectif d’un bénéfice ajusté avant intérêts et impôts pour cette année compris entre neuf et onze milliards de dollars. La rentrée de fonds (cash flow) devrait être de six milliards de dollars. Ford continue de supposer que sa division de voitures électriques sera profondément dans le rouge cette année.
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