Customize this title in frenchLa présidence suédoise peaufine la loi sur les médias avant son adoption par le Conseil

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa présidence suédoise du Conseil de l’UE a fait circuler un texte final sur la loi européenne sur la liberté des médias avant une réunion des ambassadeurs mercredi 21 juin qui devrait adopter la proposition législative. Le projet de loi vise à renforcer le pluralisme et l’indépendance des médias dans l’UE. Le texte, consulté par EURACTIV et daté du 16 juin, définit le mandat du Conseil pour les négociations avec le Parlement européen lors de la prochaine phase du processus législatif impliquant les trois institutions de l’UE, connue sous le nom de négociations en « trilogue ». La version du texte du Conseil devrait être approuvée par le Comité des représentants permanents mercredi, seules la Pologne et la Hongrie étant prêtes à ne pas soutenir le dossier, car elles le considèrent comme inutile. Le texte comprend de nouvelles modifications minimes par rapport à la précédente série d’amendements, diffusée plus tôt ce mois-ci et rapportée par EURACTIV. Accord du Conseil de l’UE en vue sur la liberté des médias Le Conseil des ministres de l’UE devrait adopter sa position sur la loi européenne sur la liberté des médias, un texte législatif clé pour le secteur des médias, plus tard ce mois-ci, sur la base d’un texte de compromis vu par EURACTIV. Conseil des médias Les principaux changements de dernière minute concernent Conseil européen des services de médias – qui remplacera l’actuel Groupe des régulateurs européens pour les services de médias audiovisuels. La gouvernance du nouvel organe était devenue un point de discorde, car certains pays de l’UE craignaient que la Commission européenne ne puisse influencer la décision de ce qui est censé être une autorité indépendante. Afin d’accroître encore l’indépendance du conseil d’administration, il a été précisé que l’organisme adoptera son règlement intérieur en « consultation » plutôt qu’en « accord » avec la Commission. En outre, le texte précise désormais que le comité devrait pouvoir s’appuyer sur les ressources humaines d’un secrétariat fourni par la Commission et consacré à l’activité du comité tout en s’appuyant également sur l’expertise des régulateurs nationaux qui l’aideront à préparer les livrables. Selon la présidence, le texte du Conseil a introduit d’importantes modifications visant à « renforcer l’indépendance du conseil d’administration et clarifier son organisation et sa gouvernance, ainsi que le rôle du secrétariat assuré par la Commission ». la sécurité nationale L’un des aspects les plus controversés de la proposition a été ses dispositions sur les logiciels espions, dont l’utilisation contre des journalistes a attiré une attention considérable ces dernières années. Dans ce domaine, le Conseil de l’UE a introduit une dérogation précisant que les règles prévues par la loi dans ce domaine sont « sans préjudice de la responsabilité des États membres pour la sauvegarde de la sécurité nationale ». Cette formulation a suscité de vives réactions de la part des associations de presse et des groupes de la société civile au motif qu’elle affaiblirait la protection des journalistes. De même, le nouveau texte note qu’un Etat membre a « de vives inquiétudes concernant les dispositions clés » liées aux logiciels espions et à la protection des sources des journalistes. Les nouvelles modifications incluent le remplacement du terme « logiciel espion » par « logiciel de surveillance intrusif », bien que la définition reste la même. Plateformes en ligne Un autre domaine du règlement proposé qui a suscité l’inquiétude des parties prenantes concerne la relation entre les fournisseurs de services de médias et les très grandes plateformes en ligne (VLOP), celles qui comptent plus de 45 millions d’utilisateurs dans l’UE. Dans un retour sur un débat qui a éclaté pour la première fois lors des négociations sur la loi sur les services numériques (DSA), certains travaillant dans le domaine de la lutte contre la désinformation ont fait valoir que toute disposition traitant différemment les médias en matière de suppression de contenu pourrait ouvrir la porte à la propagation de fausses informations en ligne. Le texte a été modifié pour donner aux fournisseurs de services de médias le temps de contester une décision de suppression ou de restriction de contenu avant qu’elle n’entre en vigueur. La crainte est que des acteurs malveillants comme Russia Today puissent utiliser ce délai pour pousser leurs récits de manipulation. Pourtant, dans son explication, le Conseil affirme que les changements apportés ici ont été entrepris « pour trouver le juste équilibre entre les intérêts des fournisseurs de services de médias et des VLOP, tout en minimisant les risques de désinformation ou de manipulation des informations conformément aux dispositions de la DSA Régulation. » Publicité d’État Un autre changement clé apporté par le Conseil a été apporté dans le domaine de la publicité d’État, où le texte initial de la Commission proposait une exemption des règles relatives à son attribution pour les collectivités territoriales de moins d’un million d’habitants. Cette limitation « a été contestée par un grand nombre de délégations et jugée trop élevée ». Dans le texte de demi-finale du Conseil, ce seuil a donc été abaissé à 100 000. Modifications supplémentaires En ce qui concerne les définitions, celles concernant « éditeur » et « infractions graves » ont été supprimées, tandis que de nouvelles définitions de « plateforme en ligne » et « autorité ou entité publique » ont été ajoutées. Sont également inclus des éclaircissements sur l’exigence selon laquelle les concentrations du marché national des médias doivent être évaluées par les États membres, la nature du processus d’examen par les pairs du Conseil et les dispositions relatives à la mesure de l’audience. [Edited by Luca Bertuzzi/Nathalie Weatherald] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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