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Des informations diffusées par des sites d’information libyens et arabes ont indiqué que les raids aériens avaient été lancés à partir d’avions appartenant au gouvernement reconnu par l’ONU en Libye divisée.
Le gouvernement libyen a démenti les informations selon lesquelles il serait responsable des attaques de drones qui ont frappé une base aérienne à l’est utilisée par des mercenaires du groupe paramilitaire russe Wagner.
L’origine de l’attaque de vendredi matin contre la base aérienne d’Al-Kharruba, à 150 km (90 miles) au sud-ouest de Benghazi, n’était pas claire, mais elle n’a fait aucune victime.
Le chef d’état-major de l’armée, le général Mohamad al-Haddad, a nié que les autorités basées à Tripoli aient quoi que ce soit à voir avec le raid.
« Aucun de nos avions n’a ciblé de site à l’est », a déclaré al-Haddad, selon le site d’information libyen Addresslibya. « Ces rapports visent à attiser une nouvelle guerre entre frères libyens et à impliquer la Libye dans un conflit régional. »
Des informations diffusées par des sites d’information libyens et arabes ont indiqué que les raids aériens avaient été lancés à partir d’avions appartenant au gouvernement reconnu par l’ONU en Libye divisée.
« Nous sommes surpris par les informations », a déclaré le ministère de la Défense, selon la télévision libyenne Al-Massar. « Nous respectons le cessez-le-feu signé en octobre 2020. »
Le ministère faisait référence à une trêve avec le général Khalifa Haftar, basé dans l’Est, qui a mis fin à son assaut avorté de 2019-2020 contre la capitale.
Des combattants du groupe Wagner, aux côtés d’autres du Tchad, du Soudan, du Niger et de Syrie, ont aidé Haftar dans la bataille de Tripoli.
Les mercenaires de Wagner restent actifs dans l’est de la Libye, riche en pétrole, ainsi que dans le sud du pays, bien que certains soient partis combattre au Mali ou en Ukraine, soutenant l’invasion de l’armée russe.
La Libye a été déchirée par plus d’une décennie de conflit stop-start depuis qu’une révolte de 2011 a renversé l’homme fort Mouammar Kadhafi, qui a également attiré plusieurs puissances étrangères.
Le pays d’Afrique du Nord reste divisé entre le gouvernement intérimaire basé à Tripoli à l’ouest et un autre à l’est soutenu par Haftar.