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La brume s’est installée sur de vastes étendues d’Amérique du Nord à cause des incendies, un problème qui devrait se poursuivre pendant les mois les plus chauds.
On s’attend à ce qu’une brume enfumée provenant de la pire saison des incendies de forêt au Canada se produise régulièrement dans certaines régions d’Amérique du Nord à l’approche des mois les plus chauds de l’année.
Vendredi, environ la moitié de la population des États-Unis était sous une forme ou une autre d’avertissement sur la qualité de l’air – soit en raison des incendies du nord, soit d’une vague de chaleur incessante dans le sud.
Dans le Midwest et l’Est des États-Unis, environ 100 millions d’Américains ont dû faire face à une autre journée de ciel enfumé.
La qualité de l’air considérée comme «malsaine» s’étendait de la province de Québec au Canada à l’État américain du Michigan à l’ouest, du Connecticut à l’est et de la Virginie au sud, selon une carte en temps réel maintenue par l’Agence américaine de protection de l’environnement.
Alors que les conditions s’amélioraient légèrement, la dernière série de mauvais air devrait se poursuivre la semaine prochaine, lorsque les États-Unis célèbreront leur fête de l’indépendance.
Voici quelques conseils pour rester en sécurité lorsque la qualité de l’air extérieur est mauvaise :
Restez à jour sur la qualité de l’air local
Connaître les conditions dans votre région est la première étape.
Aux États-Unis, l’EPA maintient un indice de qualité de l’air en temps réel et des applications de suivi de la qualité de l’air sont également disponibles.
L’indice EPA combine les mesures de l’ozone troposphérique et de la pollution par les particules fines.
L’agence définit l’ozone troposphérique comme le smog causé par la réaction de la lumière du soleil et des « polluants émis par les voitures, les centrales électriques, les chaudières industrielles, les raffineries, les usines chimiques » et d’autres sources.
Plus pertinente pour les incendies au Canada est la pollution par les particules fines, qui sont de minuscules particules qui peuvent pénétrer profondément dans les poumons. La qualité de l’air « bonne » à « modérée » a tendance à avoir une moyenne sur 24 heures de moins de 35 microgrammes par mètre cube d’air de pollution par les particules fines.
Combinant la pollution à l’ozone et aux particules fines, l’indice EPA va de 0 à 500. Tout ce qui dépasse 150 est considéré comme malsain pour le grand public. Tout ce qui dépasse 300 est considéré comme « dangereux ».
Que peut faire une mauvaise qualité de l’air sur le corps humain?
Les particules de fumée provenant des incendies de forêt peuvent irriter vos yeux et votre système respiratoire, provoquant une série de problèmes, notamment une sensation de brûlure, un écoulement nasal et une bronchite – une infection pulmonaire.
Les plus à risque sont les personnes atteintes de maladies chroniques, notamment « l’insuffisance cardiaque congestive, l’angine de poitrine, la maladie pulmonaire obstructive chronique, l’emphysème ou l’asthme », selon l’EPA.
Une étude réalisée en 2020 par l’Université de la Colombie-Britannique a également montré que les personnes atteintes de diabète avaient une probabilité accrue de complications dans les 48 heures suivant l’exposition à un feu de forêt.
Les enfants, dont le système respiratoire est encore en développement et qui respirent plus d’air par livre que les adultes, courent un risque accru, tout comme les adultes plus âgés.
Comment se protéger au mieux
La mauvaise qualité de l’air est un problème omniprésent, mais les experts ont recommandé des moyens d’atténuer les effets néfastes sur la santé.
Plus généralement, les agences de santé recommandent de rester à l’intérieur autant que possible et de fermer les fenêtres. L’utilisation de la climatisation qui fait circuler l’air est également recommandée.
Les experts ont également recommandé de privilégier l’achat d’un purificateur d’air avec un filtre de haute qualité à avoir sous la main avant que les conditions ne s’aggravent.
Si vous sortez, les experts recommandent généralement d’éviter les activités intenses et de porter un masque. Les masques ou respirateurs N95 sont recommandés pour éviter d’inhaler de minuscules particules.
Les personnes appartenant à des groupes sensibles sont également encouragées à surveiller de près les symptômes, notamment la toux, l’essoufflement, les douleurs thoraciques ou la faiblesse, et à rester en contact avec leur médecin.