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L’Espagne a pris la présidence tournante du Conseil de l’UE, avec la promesse de se concentrer sur la transition verte et la justice sociale.
Dans le cadre des événements de lancement, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a reçu dimanche à Madrid le président du Conseil européen Charles Michel.
Les deux dirigeants ont évoqué les grandes priorités de la présidence, parmi lesquelles la réindustrialisation, l’autonomie stratégique, la transition écologique, la justice sociale et économique et le renforcement de l’unité européenne.
Sánchez a reçu Michel au palais de La Moncloa au lendemain de son voyage à Kiev, où il a rencontré le président ukrainien Volodimir Zelenskyy et a réitéré son engagement à soutenir la nation déchirée par la guerre « aussi longtemps qu’il le faudra » et « quel que soit le prix à payer . »
Outre l’Ukraine, l’Espagne espère faire avancer plusieurs dossiers législatifs majeurs au cours de son mandat de six mois, comme une refonte post-crise du marché de l’électricité, une première tentative mondiale de réglementation de l’intelligence artificielle, un programme sans précédent de confiscation des actifs russes gelés. , et la révision tant attendue des règles budgétaires de l’UE.
Une autre question clé sur la table sera la migration.
Le mois dernier, les États membres ont conclu une accord préliminaire sur un nouveau cadre pour gérer collectivement l’accueil et la relocalisation des demandeurs d’asile. L’accord représentait la première percée du genre depuis des années et a rendu la réforme de la migration plus réalisable que jamais.
Mais l’accord s’est heurté à une vive contestation en Pologne et en Hongrie, car les deux pays résistent à toute tentative qui signifierait un plus grand partage des charges.
Leur résistance contrecarré les conclusions communes de la réunion du Conseil européen de la semaine dernière, un épisode que Sánchez a décrit comme un cas d' »étroitesse d’esprit ».
La présidence tournante intervient alors que l’Espagne est confrontée à des élections générales anticipées le 23 juillet, qui, selon les sondages, pourraient évincer le gouvernement de coalition de gauche du Premier ministre et le remplacer par une administration conservatrice, voire une coalition d’extrême droite, et suivre une tendance en cours dans une grande partie de l’Europe.
Malgré l’incertitude créée par la rupture générale, les responsables espagnols insistent sur le fait que la présidence ne sera pas perturbée et se déroulera comme prévu.