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Enquête ouverte sur la mort d’un jeune de 27 ans causée par un projectile « flash-ball ».
Le parquet français a ouvert une enquête sur la mort d’un homme de 27 ans touché par un projectile lors d’émeutes.
La cause probable du décès était un violent choc à la poitrine d’un projectile « flash-ball » utilisé par la police anti-émeute, a indiqué mardi leur bureau, sans préciser qui a tiré ou possédé l’arme.
Les flash-balls sont décrits comme des projectiles «moins létaux» en caoutchouc ou en mousse condensée qui sont tirés lors de mesures de contrôle des foules.
L’impact a entraîné un arrêt cardiaque et une mort subite dans la nuit de dimanche matin. Les procureurs ont déclaré qu’il n’était pas possible de déterminer où se trouvait l’homme lorsqu’il a été abattu ou si la victime avait pris part aux émeutes.
Marseille a été en proie à des émeutes et à des pillages à la suite des funérailles d’une adolescente d’origine maghrébine, Nahel M, tuée par balle par la police le 27 juin lors d’un contrôle routier.
L’incident a déclenché des troubles à l’échelle nationale et ravivé les accusations de longue date parmi les communautés d’origine noire et nord-africaine de racisme systémique parmi les forces de sécurité, de discrimination et de services publics médiocres.
La police a tiré des gaz lacrymogènes et a mené des batailles de rue avec principalement des jeunes dans le centre-ville tard dans la nuit de samedi.
Les pistolets flash-ball sont conçus pour être des armes anti-émeute non létales qui ne pénètrent pas dans la peau, mais leur utilisation par la police en France est contestée car les projectiles ont entraîné la perte des yeux, des blessures à la tête et d’autres traumatismes.
Le président français Emmanuel Macron a rencontré mardi des centaines de responsables français pour commencer à explorer les « raisons plus profondes » de la plongée du pays dans les émeutes, qui étaient les plus importantes dans les immeubles de grande hauteur multiethniques de France depuis près de deux décennies.
Au total, 3 486 manifestants ont été arrêtés, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Parmi eux, 374 personnes ont déjà été traduites en justice et jugées, selon le ministère de la Justice.
Le policier qui a tiré le coup mortel qui a tué Nahel M reste en garde à vue pour homicide.
Sept nuits d’émeutes en 2023 ont entraîné presque autant d’arrestations que plus de trois semaines et demie en novembre 2005, lorsque deux adolescents, un Noir et un d’origine arabe, ont été tués alors qu’ils fuyaient un contrôle d’identité par la police dans la banlieue parisienne. de Clichy-sous-Bois.
« Une excuse sociale »
Les critiques ont souligné comment les écoles, les bureaux des maires, les bâtiments publics et les forces de sécurité étaient ciblés comme symboles d’un pays où les enfants non blancs d’immigrants se sentent souvent comme des citoyens de seconde classe.
Le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui est d’origine ouvrière et algérienne, a nié l’existence d’une « excuse sociale » pour les émeutes.
« Il n’y a aucun lien entre la mort de ce jeune conducteur et l’agression d’un centre social, d’une école, d’une mairie, de policiers ou l’agression d’élus », a-t-il déclaré lundi.
Macron a suggéré que certains émeutiers copiaient des jeux vidéo « qui les ont intoxiqués ».
À l’extrême droite, les politiciens ont imputé la violence à l’immigration massive vers les banlieues où des vagues de familles, pour la plupart issues des anciennes colonies françaises, se sont installées depuis les années 1950.
« Quarante ans d’immigration ont ruiné ce pays », a déclaré dimanche le chef du parti de la dirigeante d’extrême droite Marine Le Pen, Jordan Bardella. « Il y a une contagion de sauvagerie dans notre société liée à une politique d’immigration complètement folle. »