Customize this title in frenchLe parlement israélien approuve une partie de la réforme judiciaire en première lecture

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Manifestation le 5 juillet

Les protestations contre la réforme durent depuis des mois en Israël.

(Photo : IMAGO/Zuma sur le fil)

Tel Aviv Malgré des protestations massives, le parlement israélien a approuvé un projet de loi en première lecture dans le cadre de la réforme judiciaire controversée. Après des heures de débat mardi soir, 64 députés sur 120 ont voté en faveur d’une loi destinée à restreindre le champ d’action de la Cour suprême. 56 ont voté contre. Deux autres lectures sont nécessaires avant que le changement n’entre en vigueur.

Le projet de loi stipule que la Cour suprême ne devrait plus être en mesure d’évaluer une décision du gouvernement ou de certains ministres comme « inappropriée ». Les critiques craignent que cela n’encourage la corruption et donc aussi le recrutement arbitraire de postes de haut rang. La loi devrait entrer en vigueur d’ici la fin du mois. Jusque-là, des changements seraient encore possibles.

Les organisateurs des manifestations dans le pays, qui durent depuis des mois, ont annoncé la semaine dernière une « journée de perturbation » en réponse. Des manifestations contre le plan du gouvernement aux carrefours et dans plusieurs rues centrales sont prévues dès les premières heures du matin. Les chauffeurs sont priés de rouler particulièrement lentement « pour montrer l’exemple », a précisé un porte-parole. Pendant la journée, des rassemblements doivent avoir lieu dans de nombreux endroits, y compris à partir de 15h00 (CEST) à l’aéroport international Ben Gourion près de Tel-Aviv.

Depuis plus de six mois, le plan global du gouvernement divise de larges pans de la société israélienne. La coalition de Netanyahu veut utiliser les plans pour affaiblir spécifiquement la Cour suprême. Elle l’accuse d’ingérence excessive dans les décisions politiques. Les critiques voient la séparation des pouvoirs en danger et avertissent qu’Israël pourrait se transformer en dictature. Le gouvernement nie cela.

Plus: Le modèle israélien : comment Biden et Scholz veulent réconforter l’Ukraine au sommet de l’OTAN

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