Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsExposition de la semaineLindsey Mendick: Sh*tfacedCéramique et psychologie se rejoignent dans Shitfaced, une émission sur la consommation excessive d’alcool. Et la frange n’a même pas encore commencé. Jupiter Artland, près d’Édimbourg, jusqu’au 1er octobreMontrant égalementPaula Rego : Le jardin de CrivelliComment cette artiste vénérée s’est inspirée de l’art de la Renaissance lorsqu’elle a peint une fresque pour le restaurant de la National Gallery. National Gallery, Londres, du 20 juillet au 29 octobreVénus noireLes représentations dominantes des femmes noires sont remises en question par Sonia Boyce, Kara Walker, Alberta Whittle et bien d’autres. Somerset House, Londres, du 20 juillet au 24 septembreCinga SamsonPeintures sombres d’Afrique du Sud qui suggèrent une histoire de violence et de perte. White Cube Mason’s Yard, Londres, jusqu’au 26 aoûtHerzog & de MeuronMaquettes et plans documentent les travaux de ces architectes qui évoquent le sublime futuriste. Royal Academy, Londres, jusqu’au 15 octobreImage de la semaine Photographie : Bonnie H Morrison/Artists Rights SocietyDe son vivant, le milliardaire new-yorkais Sheldon Solow a réuni une collection privée d’art de 500 millions de dollars, comprenant des œuvres de Picasso, Lichtenstein et Cézanne. Les œuvres – qui comprennent également un Basquiat cramoisi féroce, un Kline monochrome et un Henry Moore serein – ont été gardées secrètes pendant des années, mais pour certains membres du public, la porte s’ouvre lentement. Lire l’article complet iciCe que nous avons apprisUn maire d’Helsinki a été arrêté en train de pulvériser des graffitis dans un tunnel ferroviaireUne émission de groupe sur le corps regorge de détails grotesques mais manque d’âmeLe cinéaste Joel Coen a organisé une nouvelle exposition du photographe Lee FriedlanderDes milliers d’artistes sont contraints de quitter Londres en raison de la hausse des coûtsL’architecte Norman Foster a salué la capacité de Steve Jobs à « penser à grande échelle »Un appel vise à sauver une station d’observation de la RAF de 1941 abandonnée mais « presque moderniste »Un spectacle historique de Nan Goldin a ouvert ses portes en AustralieDürer s’est peint sur un retable de la Renaissance pour se vengerLa photographe Janine Wiedel a capturé la crasse et la gloire des années 1970 industrielles britanniquesMike Silva voulait à l’origine faire des peintures qui ressemblaient au son de Black FlagUn incendie criminel semble avoir détruit la célèbre sculpture Vénus aux haillonsChef d’oeuvre de la semainePaysage à Arleux-du-Nord par Jean-Baptiste-Camille Corot, 1871-4 Photographie : Peintres/AlamyLes jeunes impressionnistes bousculent l’art du paysage lorsque le vieux Corot peint ce moment placide et champêtre. Mais loin de le voir comme un crétin conservateur, l’avant-garde française reconnaît son intensité et son originalité. Corot, né en 1796, a creusé son propre sillon en peignant des scènes rurales silencieuses, calmes et poétiques, à cheval entre l’âge romantique et les premières années du modernisme. Cette peinture peut même être subtilement influencée par l’appétit impressionniste pour un fort ensoleillement. C’est un tendre hymne à la campagne française par un artiste qui aimait ses paysages nationaux autant que John Constable aimait le Suffolk. Galerie nationale, LondresN’oubliez pasPour nous suivre sur Twitter : @GdnArtandDesign.Inscrivez-vous à la newsletter Art WeeklySi vous ne recevez pas déjà notre tour d’horizon régulier de l’actualité de l’art et du design par e-mail, veuillez vous inscrire ici.Entrer en contactSi vous avez des questions ou des commentaires sur l’une de nos newsletters, veuillez envoyer un e-mail à [email protected]
Source link -57