Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsUne croissance de l’emploi plus lente, une croissance démographique plus rapide et un taux de chômage stable sont les principales histoires de la dernière mise à jour de la population active du Bureau of Statistics.L’emploi a augmenté de 32 600 entre mai et juin, tandis que la population a augmenté de 49 900. Le taux de chômage reste (heureusement) fixé à 3,5 %, bien qu’à deux décimales près, il soit passé de 3,55 % à 3,47 %.Cette histoire n’est pas nouvelle. Le déclin de la vague Delta de Covid-19 à partir de fin 2021 a entraîné une forte reprise de la demande de travailleurs. Même après le rebond immédiat des fermetures, l’emploi a augmenté de manière impressionnante.Au cours des neuf mois à compter de novembre 2021, l’emploi total a augmenté en moyenne de 55 000 par mois, soit le double des 20 000 à 30 000 habituels avant Covid.Par la suite, la croissance de l’emploi a augmenté plus lentement, de 35 600 en moyenne par mois depuis août 2022.La croissance démographique s’est accélérée alors que la croissance de l’emploi a ralenti. Photographie : James Ross/AAPLa croissance démographique s’est accélérée alors que la croissance de l’emploi a ralenti. Au cours des neuf mois jusqu’en août 2022, au cours desquels d’importantes restrictions à l’immigration subsistaient, elle était en moyenne de 37 200 par mois.Après cette période, une fois ces restrictions supprimées, la croissance démographique a atteint en moyenne 50 300 par mois.Qui obtient du travail a changéLa mi-2022 n’a pas seulement marqué un changement dans le rythme de la croissance de l’emploi. Elle a également marqué un changement dans les sources de la croissance de l’emploi.Jusqu’en août 2022, des travailleurs supplémentaires avaient été tirés du chômage et des nouveaux entrants sur le marché du travail, ainsi que de la croissance démographique.Mais depuis août 2022, la croissance de l’emploi provient presque entièrement de la croissance démographique. Les taux de chômage et de participation à la population active sont restés largement constants.Pourquoi le chômage n’a pas bondiUne combinaison de ralentissement de la croissance de l’emploi et d’accélération de la croissance démographique aurait dû faire grimper le taux de chômage. Mais jusqu’à présent, cela ne s’est pas produit.Après avoir atteint un creux de 3,5 % en août 2022, le chômage y est resté quasiment tout le temps depuis.La raison en est notre niveau record de postes vacants. Moins de nouveaux emplois sont créés, mais un nombre inhabituellement élevé de postes vacants maintient la demande de travailleurs à un niveau élevé.Les nouveaux entrants sur le marché du travail ont pu occuper ces postes vacants, plutôt que de se retrouver au chômage.D’où vient la croissance démographiqueLe taux de croissance démographique plus élevé provient de l’augmentation de l’immigration, un terme qui englobe les étudiants internationaux et les vacanciers qui travaillent.La migration nette outre-mer (la mesure dans laquelle les arrivées dépassent les départs) était en moyenne de 23 270 par mois au premier semestre 2022, puis de 35 200 au second semestre.Une grande partie de la croissance provient du retour des étudiants internationaux et des vacanciers-travailleurs.Sans surprise, les plus fortes réductions des postes vacants sont survenues dans les professions où ces titulaires de visas temporaires représentent la plus grande part de la main-d’œuvre.Le retour des étudiants internationaux et des vacanciers-travailleurs explique en grande partie l’augmentation des chiffres de l’immigration. Photographie : Bianca de Marchi/AAPDepuis le milieu de 2022, le taux de postes vacants chez les travailleurs des métiers de l’alimentation est passé de 4,4 % à 3,0 %, la baisse de loin la plus importante de tous les groupes professionnels.Les taux de postes vacants pour les travailleurs de l’accueil et de la préparation des aliments ont chacun diminué d’environ trois quarts de point de pourcentage.Où aller d’iciLa croissance continue (désormais modeste) de la création de nouveaux emplois, associée à l’énorme arriéré de postes vacants, pourrait bien permettre au taux de chômage de rester autour de son niveau actuel, même avec un taux de croissance démographique élevé.Que cela se produise effectivement dépend de la manière dont la croissance future des nouveaux emplois est affectée par les actions de la Banque de réserve visant à freiner la croissance économique.Jusqu’à présent, ces actions ont ralenti le marché du travail, mais ne l’ont pas envoyé en chute libre.Que cela reste le cas sera l’histoire à surveiller dans les mois à venir.
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