Bolsonaro du Brésil envisage une augmentation du salaire minimum après des fuites de rapports

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© Reuters. PHOTO DE DOSSIER: Le ministre brésilien de l’Économie, Paulo Guedes, s’exprime au Palais Planalto à Brasilia, Brésil, le 6 octobre 2022. REUTERS / Ueslei Marcelino

BRASILIA (Reuters) – Le gouvernement du président brésilien Jair Bolsonaro envisage d’augmenter le salaire minimum et les salaires des fonctionnaires au-dessus de l’inflation, a déclaré mardi le ministre de l’Economie Paulo Guedes, mais il a nié l’intention de mettre fin aux avantages fiscaux de la classe moyenne.

Les remarques, faites lors d’un événement virtuel sur le coopérativisme, ont eu lieu avant le second tour de l’élection présidentielle du 30 octobre au cours duquel Bolsonaro de droite suit l’ancien président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva dans les sondages.

Le journal Folha de S. Paulo a rapporté la semaine dernière que le gouvernement étudiait l’opportunité de mettre fin à une obligation constitutionnelle d’ajuster le salaire minimum chaque année d’au moins l’inflation de l’année précédente, une nouvelle qui a nui à la campagne de Bolsonaro.

Mardi, le journal O Estado de S. Paulo a rapporté mardi que des études du ministère proposaient de supprimer la possibilité de déduire les frais médicaux et d’éducation de l’impôt sur le revenu. Une telle mesure toucherait principalement la classe moyenne.

Dans les deux cas, Guedes a reconnu l’existence d’études internes mais a attribué leur préparation et leur fuite aux membres du Parti des travailleurs (PT) de Lula qui travaillent au ministère.

« A la veille des élections, ils divulguent des études qui ont été rejetées », a-t-il déclaré.

PT n’a pas immédiatement répondu à la demande de commentaires de Reuters.

Le ministre a souligné que l’administration Bolsonaro voulait approuver une réforme fiscale qui réduirait le fardeau des plus pauvres et taxerait les bénéfices et les dividendes.

Plus tard dans la journée de mardi, le ministère de l’Économie a déclaré dans un communiqué que de supposées études, analyses, essais et avis produits par les domaines techniques du cabinet ne pouvaient être « incorrectement pris comme des propositions du ministère ou du ministre ».

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