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PARIS – Le président français Emmanuel Macron a déclaré que la France devrait se concentrer sur le rétablissement de l’ordre et le renforcement de l’autorité des parents dans sa réponse aux émeutes qui ont secoué les banlieues françaises le mois dernier.
« La leçon que j’en tire est l’ordre, l’ordre, l’ordre. Notre pays a besoin d’un retour de l’autorité à tous les niveaux, et d’abord dans la famille », a déclaré Macron lors d’un entretien avec les chaînes françaises TF1 et France 2 lundi.
Le mois dernier, la fusillade mortelle de Nahel M., une adolescente de 17 ans d’origine nord-africaine, lors d’une opération de police a déclenché plusieurs jours de troubles dans les banlieues les plus pauvres de France, de jeunes émeutiers ciblant souvent des symboles de l’État français tels que des écoles, des commissariats de police et même des bibliothèques.
Les troubles ont déclenché un débat sur l’autorité défaillante des parents, les membres du gouvernement avertissant que les parents devraient payer pour les dommages causés par leurs enfants.
Selon le président français, l’âge moyen des jeunes arrêtés lors des émeutes était de 16 ans et une écrasante majorité provenait de « milieux familiaux fragiles » tels que les familles monoparentales ou les placements en maisons de retraite.
Alors que Macron est resté vague sur les mesures qu’il prévoyait, il s’est engagé à « amener les familles à agir de manière plus responsable et à aider les autres familles en difficulté ».
La position plaira probablement aux conservateurs français et à l’extrême droite qui ont appelé à une réponse dure au chaos dans les banlieues. Les commentaires sont intervenus quelques jours après un remaniement mineur du gouvernement qui a vu Elisabeth Borne conserver son poste de Premier ministre et la nomination de nouveaux ministres de la Santé et de l’Éducation.
Dans l’interview, qui a eu lieu lors d’une visite dans le territoire français d’outre-mer de la Nouvelle-Calédonie, Macron s’est également prononcé en faveur de la police, mais a évité une polémique sur les grèves de la police dans la ville portuaire de Marseille qui a été déclenchée par l’arrestation d’un officier accusé d’agression pendant les émeutes.
« Nos policiers ont fait face à un niveau de violence sans précédent : 900 ont été blessés [during the riots] et 28 enquêtes ont été lancées [against them]… Nous avons besoin de recul ici », a déclaré Macron.