Customize this title in frenchSCOTUS décidera si les lois des États limitant les plateformes sociales violent la Constitution

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WASHINGTON (AP) — La Cour suprême a accepté vendredi de décider si les lois des États qui cherchent à réglementer Facebook, TikTok, X et d’autres plateformes de médias sociaux violent la Constitution.

Les juges examineront les lois adoptées par des législatures dominées par les républicains et signées par les gouverneurs républicains de Floride et du Texas. Même si les détails varient, les deux lois visent à empêcher les sociétés de médias sociaux de censurer les utilisateurs en fonction de leurs points de vue.

L’annonce de la Cour, trois jours avant le début de son nouveau mandat, intervient alors que les juges continuent de se demander comment les lois rédigées à l’aube de l’ère numérique, ou avant, s’appliquent au monde en ligne.

Les juges avaient déjà convenu de décider si les agents publics pouvaient empêcher les critiques de commenter sur leurs comptes de réseaux sociaux, une question qui avait déjà été soulevée dans une affaire impliquant le président de l’époque, Donald Trump. Le tribunal a rejeté l’affaire Trump à la fin de son mandat présidentiel en janvier 2021.

Par ailleurs, la Haute Cour pourrait également envisager une ordonnance d’un tribunal inférieur limitant les communications des responsables du pouvoir exécutif avec les sociétés de médias sociaux au sujet de publications en ligne controversées.

DOSSIER – La Cour suprême des États-Unis, le 8 juin 2020, à Washington. (Photo AP/Manuel Balce Ceneta, dossier)

La nouvelle affaire fait suite à des décisions contradictoires de deux cours d’appel, dont l’une a confirmé la loi du Texas, tandis que l’autre a invalidé la loi de Floride. Par 5 voix contre 4, les juges ont maintenu la loi du Texas en suspens pendant que le litige se poursuit.

Mais l’alignement était inhabituel. Le juge en chef John Roberts et les juges Stephen Breyer, Sonia Sotomayor, Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett ont voté en faveur de la demande d’urgence de deux groupes industriels technologiques qui ont contesté la loi devant un tribunal fédéral.

Les juges Clarence Thomas, Samuel Alito, Elena Kagan et Neil Gorsuch auraient permis que la loi reste en vigueur. En désaccord, Alito a écrit : « Les plateformes de médias sociaux ont transformé la façon dont les gens communiquent entre eux et obtiennent des informations. »

Les partisans de ces lois, y compris les élus républicains de plusieurs États dotés de mesures similaires, ont cherché à présenter les sociétés de médias sociaux comme étant généralement libérales et hostiles aux idées extérieures à ce point de vue, en particulier celles de la droite politique.

Le secteur technologique a averti que les lois empêcheraient les plateformes de supprimer l’extrémisme et les discours de haine.

Sans donner aucune explication, les juges ont reporté l’examen de l’affaire, même si les deux parties étaient d’accord pour que la Haute Cour intervienne.

Les juges ont été saisis d’autres problèmes liés aux médias sociaux l’année dernière, notamment un plaidoyer que le tribunal n’a pas retenu pour assouplir les protections juridiques dont bénéficient les entreprises technologiques pour les publications de leurs utilisateurs.



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