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Le Département d’État américain a révisé son recommandations aux voyageurs en Israël mercredi, exhortant les Américains à « reconsidérer leur voyage » dans ce pays au milieu de l’intensification de la guerre avec le Hamas à Gaza.
Des violences ont éclaté samedi lorsque des militants du Hamas à Gaza – un territoire palestinien où le Hamas est basé – ont lancé une attaque surprise contre Israël, tuant des centaines de soldats et de civils et en détenant plus de 150 d’entre eux. otage à Gaza.
L’attaque surprise a déclenché une guerre qui a mis un terme à arrêt brutal de plusieurs vols des États-Unis vers Israël samedi. Alors que les violences continuent de se développer entre Israël et le Hamas, le Département d’État américain a rehaussé son avis aux voyageurs à destination d’Israël au niveau « Niveau 3 : reconsidérer les voyages ».
« Des groupes terroristes, des terroristes isolés et d’autres extrémistes violents continuent de préparer d’éventuelles attaques en Israël, en Cisjordanie et à Gaza », indique l’avis. « Les terroristes et les extrémistes violents peuvent attaquer avec peu ou pas d’avertissement, ciblant des lieux touristiques, des centres de transport, des marchés/centres commerciaux et des installations gouvernementales locales. »
« Des violences peuvent survenir en Israël, en Cisjordanie et à Gaza sans avertissement. Il y a eu une augmentation marquée des manifestations dans tout Israël, certaines avec peu ou pas d’avertissement. »
Même avant que la guerre n’éclate, le Département avait publié un avertissement mettant en garde les Américains contre tout voyage à Gaza et les exhortant à être prudents lorsqu’ils voyagent en Israël en raison de la menace terroriste.
Désormais, l’avis révisé répertorie Israël et la Cisjordanie comme des endroits où il faut reconsidérer son voyage en raison du « terrorisme et des troubles civils ». Il prévient également de ne pas se rendre à Gaza pour les mêmes raisons, ainsi que pour le « conflit armé ».
Les militants israéliens continuent de lutter contre le Hamas en utilisant des frappes aériennes depuis samedi, ce qui semble n’être que le début de leur offensive. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a juré pour provoquer des représailles plus importantes qui « se répercuteraient… sur des générations ».
Plusieurs dirigeants politiques américains se sont prononcés sur la guerre, notamment le président Joe Biden, qui a promis mardi pour continuer à soutenir Israël dans sa défense. Pendant ce temps, le prix Nobel de la paix Malala Yousafzaï — sans prendre parti — a appelé à un « cessez-le-feu immédiat » mardi pour le bien des enfants pris au milieu des violences, faisant écho à un déclaration similaire publié par l’UNICEF le même jour.
La guerre, que le Presse associée Les rapports ont coûté la vie à au moins 2 300 personnes des deux côtés, n’a pas été provoqué, mais plutôt déclenché par les décennies d’apartheid du gouvernement israélien contre les Palastiniens. Biden a semblé y faire allusion dans ses remarques de mardi en condamnant le Hamas et en soulignant que le groupe ne reflète pas l’ensemble de la cause palestinienne.
« La brutalité du Hamas… rappelle les pires déchaînements de l’Etat islamique », a déclaré Biden. « Le Hamas ne défend pas le droit du peuple palestinien à la dignité et à l’autodétermination… Le Hamas ne propose que terreur et effusion de sang, sans se soucier de savoir qui en paie le prix. »