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Die Preise für Strom et l’essence est récemment revenue quelque peu à la normale, mais les déductions mensuelles élevées ont peut-être fait monter les larmes aux yeux de certaines personnes lorsqu’elles regardent leur relevé bancaire. Afin d’alléger la charge financière des citoyens, le gouvernement fédéral a introduit ce qu’on appelle un frein aux prix. Depuis le printemps, ils ont plafonné les prix du gaz à 12 cents par kilowattheure (kWh), de l’électricité à 40 cents par kWh et du chauffage urbain à 9,5 cents par kWh. Le gouvernement des feux tricolores a désormais décidé de prolonger les freins tarifaires, qui auraient expiré le 31 décembre 2023.
Vergleichsportale kritisieren Verlängerung
Robert Habeck (Grüne) sprach sich bereits im Sommer für eine Verlängerung der Preisbremsen jusqu’à Pâques 2024. Comme le rapporte l’agence de presse AFP, le gouvernement fédéral s’y est désormais officiellement associé. Toutefois, le délai a été raccourci d’un à trois mois. Ainsi, les prix de l’énergie pour la consommation de base resteront plafonnés jusqu’au 31 mars 2024 – l’État paiera la différence. Alors que les économistes et les défenseurs des consommateurs ont soutenu la décision, les critiques proviennent de portails de comparaison tels que Check 24 et[–>Verivox. Étant donné que les tarifs de l’électricité et du gaz pour les nouveaux clients autres que les services de base sont récemment tombés en dessous des montants au-dessus desquels les plafonds s’appliquent, les plafonds tarifaires dissuadent les consommateurs de changer de fournisseur – ce qui, en fin de compte, retombe sur le contribuable, selon le contre-argument.
Früher zurück zum vollen Mehrwertsteuersatz
Bislang sollen die Preisbremsen den Staat rund 32 Milliarden Euro gekostet haben. Um Geld in die Staatskassen zu spülen, sollen Verbraucherinnen und Verbraucher ab Januar 2024 wieder den vollen Mehrwertsteuersatz auf Gas und Fernwärme zahlen. Der reduzierte Satz von 7 Prozent gilt seit Oktober 2022 und sollte ursprünglich erst Ende März 2024 auslaufen. Von der vorzeitigen Erhöhung zurück auf 19 Prozent verspricht sich das Finanzministerium Einnahmen in Höhe von etwa 2,1 Milliarden Euro.