Customize this title in frenchLes responsables français soupçonnent des farceurs dans une série de fausses alertes à la bombe

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsDes policiers patrouillent lors de la cérémonie funéraire du professeur de français Dominique Bernard, 57 ans, poignardé à mort à l’école par un extrémiste islamiste présumé, à Arras, dans le nord de la France, le jeudi 19 octobre 2023. (Photo AP/Michel Spingler)Aucune bombe n’a été trouvée, mais les autorités ne peuvent prendre de risques avec la vie des voyageurs, des étudiants ou des travailleurs.Pourtant, le gouvernement s’impatiente, menaçant de peines de prison et de lourdes amendes ceux qui lanceraient de fausses alertes à la bombe.Une série de fausses alertes a forcé l’évacuation de 15 aéroports et l’annulation de 130 vols, ainsi que la fermeture répétée des portes du château de Versailles depuis samedi dernier.Les responsables français ont suggéré que des farceurs, peut-être des jeunes, pourraient en être responsables. Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, a blâmé « les petits farceurs, les petits clowns » et a juré : « Ils seront retrouvés, ils seront punis ».Le portrait du regretté professeur de français Dominique Bernard, 57 ans, poignardé à mort à l’école par un extrémiste islamiste présumé, est exposé à Arras, dans le nord de la France, le jeudi 19 octobre 2023. (Photo AP/Michel Spingler)En vertu de la loi française, les canulars peuvent être punis d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 euros (75 000 dollars), a indiqué le ministre. Il a ajouté que les parents des mineurs pourraient être obligés de payer des dommages et intérêts. »Nous n’avons pas besoin de cela. Nous n’avons pas besoin de fauteurs de troubles, de psychose, en ce moment », a-t-il déclaré mercredi.La police a déclaré qu’au moins sept aéroports avaient reçu des menaces jeudi, principalement par courrier électronique. Parmi les aéroports visés figuraient les aéroports de Lille, Lyon, Bordeaux, Nantes et Toulouse.Les funérailles de Dominique Bernard, professeur de français tué d’un coup de couteau au cou, ont eu lieu jeudi à Arras, ville du nord où il enseignait à l’école Gambetta-Carnot.Le somptueux château de Versailles a été contraint d’évacuer jeudi ses visiteurs pour la quatrième fois en moins d’une semaine pour un contrôle de sécurité après une alerte à la bombe. (Photo AP/Christophe Éna)Le président Emmanuel Macron était présent – ​​son avion sur le tarmac de l’aéroport voisin de Lille, parmi les personnes évacuées lors de la messe du matin, selon l’agence locale. Voix du Nord journal.Parmi les menaces reçues jeudi, il y en avait une contre un centre de recherche nucléaire à Grenoble, dans le sud-est. Deux livreurs, âgés de 23 et 26 ans, ont été arrêtés après avoir déposé un colis à l’Institut Laue Langevin et déclaré aux gardes en partant : « Nous l’avons fait. Nous avons livré une bombe », a déclaré l’agence locale. Le Dauphine Libéré signalé.Le ministre français des Transports, Clément Beaune, a déclaré mercredi que de fausses menaces avaient été proférées contre 17 aéroports, provoquant des perturbations généralisées, l’évacuation de 15 aéroports, l’annulation de 130 vols et de nombreux retards de vols.Ce sont les préfets de région qui décident, au cas par cas, si les menaces nécessitent une évacuation. »Pour l’instant, nous n’avons pas de solution miracle », a déclaré Nicolas Paulissen, délégué général du Syndicat des aéroports français présent dans les 150 aéroports du pays. Le risque d’attentat à la bombe ne peut être ignoré, mais « nous ne pouvons pas empêcher les aéroports de fonctionner ».L’aéroport de Lille, dans le nord de la France, est l’un des huit aéroports évacués le 18 octobre. (Sebadelha Julie/ABACA/Shutterstock/Fichier)Il a toutefois souligné que les aéroports sont capables de s’adapter aux menaces et aux crises. »L’adaptation est dans notre ADN », a déclaré Paulissen.Beaune, le ministre des Transports, a souligné le message ferme du gouvernement concernant le barrage d’alertes à la bombe. »Ces fausses alertes ne sont pas de mauvaises blagues. Ce sont des crimes », a posté Beaune sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter.

Source link -57