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Les ministres d’Unidas Podemos, le plus jeune membre de la coalition, ont critiqué la monarchie espagnole alors que la princesse Leonor, la future reine, a prêté allégeance à la constitution espagnole à l’occasion de son 18e anniversaire mardi.
Étaient absents à la cérémonie d’investiture le ministre par intérim des Affaires sociales et leader de Podemos, Ione Belarra, la ministre de l’Égalité Irene Montero (Podemos) et le ministre de la Consommation Alberto Garzón d’Izquierda Unida (IU). Ils ont souligné que la cérémonie solennelle servait à « légitimer » la monarchie, une institution à laquelle aucun d’entre eux ne croyait.
Lors d’une interview mardi, Belarra est allée encore plus loin en déclarant : « Nous allons travailler pour que cela n’arrive jamais », faisant référence à la princesse Leonor devenant reine.
Lors d’une cérémonie télévisée accompagnée de ses parents, le roi Felipe VI et la reine Letizia, et de sa sœur cadette, « Infanta » Sofía, la future reine a prêté allégeance à la constitution du pays et a juré fidélité au roi devant le parlement espagnol.
« À partir d’aujourd’hui, je me dois à tous les Espagnols, que je servirai toujours avec respect et loyauté. Il n’y a pas de plus grande fierté», a-t-elle déclaré lors d’un discours au Palais Royal.
Les partis nationalistes basque et catalan, qui jouent un rôle clé dans le renouvellement du mandat du Parti socialiste du Premier ministre sortant Pedro Sanchez, n’ont pas non plus assisté à la cérémonie.
La Gauche républicaine de Catalogne, le Bloco Nacionalista Galego et EH Bildu (basque) ont également publié un manifeste affirmant que la monarchie, « héritée d’une dictature », ne représente pas les citoyens catalans, basques et galiciens.
« La monarchie espagnole et ses membres représentent l’un des plus grands représentants du déni des droits civils, politiques et nationaux de nos peuples et de leurs citoyens », peut-on lire dans le communiqué.
Un pays divisé
Selon une enquête de 2022 pour Vanitatis-El Confidencial, 39 % des Espagnols se disent favorables à une « République espagnole », tandis que seulement 7,9 % voient cette option comme positive mais ne la considèrent pas urgente et 9,2 % déclarent qu’ils fonderont leur politique sur cette option. décision sur la façon dont la famille royale se comportera dans les années à venir.
Dans le même temps, 38,9% des Espagnols interrogés préfèrent que l’Espagne reste une monarchie parlementaire, selon l’étude, qui propose presque un lien entre les partisans d’une république et ceux en faveur de la monarchie.
Ayant atteint l’âge adulte et prêté serment, la fille aînée de Felipe VI pouvait désormais exercer automatiquement et immédiatement les fonctions royales en cas de disqualification de son père.
Le père de Felipe VI et grand-père de Leonor, l’ancien roi Juan Carlos Ier, qui a abdiqué en 2014 et vit désormais en exil volontaire d’Espagne, ainsi que l’ancienne reine Sofia n’ont pas assisté à la cérémonie.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)