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Une organisation française à but non lucratif a mis en garde les gens contre l’utilisation de « mauvaises solutions » pour atténuer le risque d’alcool au volant, ajoutant que le meilleur plan est de ne pas conduire du tout.
Qu’il s’agisse de conduire lentement, de boire de l’eau ou de sucer un bonbon, il existe plusieurs « mauvaises solutions » que certaines personnes utilisent pour rentrer chez elles en voiture après avoir bu de l’alcool le soir du Nouvel An.
La meilleure solution est de dormir sur place et de bénéficier d’une vraie nuit de sommeil, selon Anne Lavaud, de l’Organisme de Prévention Routière.
L’association française à but non lucratif a lancé sa 14e campagne de sensibilisation avant le 31 décembre pour encourager les gens à ne pas conduire en état d’ébriété, d’autant plus que beaucoup comptent célébrer le réveillon du Nouvel An.
L’association estime que sept Français sur dix ont envisagé certaines des mauvaises solutions ci-dessus avant de rentrer chez eux en voiture.
L’alcool au volant représentait 30 pour cent des décès sur les routes en 2023, dont 71 pour cent survenaient la nuit.
Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, les taux d’accidents sont plus élevés pendant les vacances en raison de la consommation d’alcool avant de voyager en voiture, à moto ou à vélo.
Au cours des cinq dernières années (hors période pandémique), 18 personnes sont mortes sur les routes en France lors du week-end du Nouvel An, selon l’observatoire.
L’organisme Prévention routière recommande soit de dormir sur place avant de conduire, soit de désigner un conducteur désigné qui ne boit pas d’alcool, ne teste pas son taux d’alcoolémie et n’utilise pas les transports en commun.
La consommation moyenne en termes de nombre de verres que les personnes interrogées par l’association envisagent de boire le soir du Nouvel An a légèrement diminué, passant de 3,5 en 2022 à 3,3 en 2023.
Mais Lavaud a qualifié ce changement de « faible », soulignant que beaucoup de gens ne savent pas compter leur consommation d’alcool.
La France a ratifié en 2020 la Déclaration de Stockholm qui engage les pays à réduire de moitié le nombre de décès résultant des accidents de la route d’ici 2030.
Selon ces engagements, « en 2030, il devrait y avoir environ 1 700 morts sur la route », a déclaré Patrick Dixneuf, président de l’Organisation de prévention routière.
Mais « nous terminerons sans aucun doute l’année (2023) avec plus de 3 000 morts et un nombre de blessés graves autour de 16 000. Cela veut dire que nous n’en sommes pas là », a-t-il déclaré.
L’objectif à long terme de l’UE en matière de sécurité routière est de se rapprocher le plus possible de zéro décès d’ici 2050.