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© Reuter. Carrefour arrête la vente de produits PepsiCo en raison d’un différend sur la hausse des prix
Carquois quantitatif – Carrefour (EPA :), un acteur majeur du secteur européen de la vente au détail, a pris une position audacieuse contre PepsiCo (NASDAQ 🙂 concernant la hausse des prix de ses produits. Dans un geste sans précédent, le détaillant a annoncé l’arrêt des produits PepsiCo (PEP) comme Pepsi, Lay’s chips et 7Up dans ses magasins en France, en Italie, en Espagne et en Belgique. Cette décision, motivée par ce que Carrefour qualifie d' »augmentations de prix inacceptables » de la part de PepsiCo, reflète la tension croissante entre les détaillants et les géants mondiaux de l’alimentation dans un contexte de pressions inflationnistes. Dans certains magasins Carrefour, comme dans un magasin d’Auteuil en banlieue parisienne, les produits PepsiCo manquaient déjà dans les rayons, accompagnés de pancartes expliquant la raison de leur absence. Cette démarche de Carrefour constitue une avancée significative dans les négociations en cours sur les prix des produits dans le secteur de la grande distribution.
Les clients, notamment dans les quartiers chics comme le 16e arrondissement de Paris, ont généralement réagi positivement à la décision de Carrefour. Des acheteurs comme Edith Carpentier estiment que les prix élevés de ces produits les amèneront à rester sur les étagères, car bon nombre d’entre eux ne sont pas essentiels. Ce sentiment des clients s’aligne sur la position de Carrefour contre les hausses de prix. PepsiCo, qui a annoncé cette année des augmentations de prix « modestes » en raison d’une demande soutenue, n’a pas commenté les actions de Carrefour. La stratégie de hausse des prix de l’entreprise, malgré une demande croissante, a conduit à une troisième augmentation consécutive de ses prévisions de bénéfices pour 2023.
Aperçu du marché:
Carrefour, le géant français de la distribution, prend position contre la hausse des prix des produits alimentaires en supprimant les produits PepsiCo de la cote dans quatre pays européens. Les consommateurs applaudissent cette décision, soulignant leur frustration croissante face aux hausses de prix induites par l’inflation. Cette escalade dans la lutte acharnée en matière de prix entre détaillants et fabricants ajoute une autre couche d’incertitude sur le marché européen. Points clés:
Carrefour suspend Pepsi, Lay’s et 7up en France, en Italie, en Espagne et en Belgique en raison de hausses de prix « inacceptables ». Les premières négociations sur les prix du gouvernement français alimentent la position proactive de Carrefour contre de fortes augmentations de coûts. Les consommateurs parisiens expriment leur soutien au retrait de la cote, faisant écho aux inquiétudes concernant l’accessibilité financière. PepsiCo reste silencieux sur cette radiation, tandis que les experts mettent en garde contre des répercussions potentielles à l’échelle du secteur. La campagne passée de « Shrinkflation » de Carrefour souligne encore davantage son engagement en faveur de la protection des prix à la consommation. Regarder vers l’avant:
Le succès de la démarche audacieuse de Carrefour dépend de l’appétit des consommateurs pour les marques alternatives et des concessions potentielles de PepsiCo. D’autres détaillants européens pourraient emboîter le pas, ce qui pourrait entraîner des radiations de produits et des renégociations de prix potentiellement généralisées. Le rôle du gouvernement français dans la régulation des prix pourrait influencer l’influence de Carrefour dans les négociations futures. La bataille entre l’accessibilité financière et la rentabilité des fabricants menace de perturber le paysage de l’alimentation et des boissons en Europe.
Le conflit entre Carrefour et PepsiCo s’inscrit dans un schéma plus large observé dans le secteur de la vente au détail. Les détaillants de divers pays, dont l’Allemagne et la Belgique, ont suspendu les commandes des entreprises de biens de consommation en réponse aux augmentations de prix, ce qui indique une atmosphère plus conflictuelle dans les négociations sur les prix dans un contexte d’inflation. Carrefour a été particulièrement proactif en opposant les grandes entreprises de produits de consommation et alimentaires sur les questions de prix. L’année dernière, le détaillant a lancé une campagne de « Shrinkflation », mettant en avant des produits dont la taille a été réduite mais dont le coût a augmenté, signalant ainsi son engagement à lutter contre les tendances inflationnistes.
La situation est particulièrement prononcée en France, où le secteur de la vente au détail est fortement réglementé. Les supermarchés français ne sont tenus de négocier les prix avec les producteurs de produits alimentaires et de boissons qu’une fois par an, un système conçu pour protéger l’industrie agricole locale. Cependant, le dernier cycle de négociations, mené au plus fort de la crise inflationniste, a abouti à des hausses de prix substantielles dans tous les domaines. Cela a eu un impact sur le chiffre d’affaires des supermarchés et a alimenté leur empressement à négocier des réductions de prix lors du cycle de négociations en cours. James Walton, économiste en chef à l’Institut de la distribution alimentaire, a noté que les supermarchés français sont prêts à retirer des produits de la liste s’ils ne sont pas satisfaits des accords, ce qui indique la gravité de la situation.
Cet article a été initialement publié sur Quiver Quantitative