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La Chine et la Suisse militent ensemble pour l’inclusion de la Russie dans les pourparlers organisés par la Suisse et axés sur la résolution du conflit en cours en Ukraine, selon un article du South China Morning Post.
Des sources suggèrent que les deux pays partagent une approche pragmatique pour parvenir à la paix et estiment qu’un format excluant l’une ou l’autre des parties pourrait entraîner des défis diplomatiques.
Les pourparlers ont été initialement convenus par le gouvernement suisse, répondant à la demande de l’Ukraine, sans date confirmée.
Le projet d’inviter la Russie aux négociations fait l’objet de critiques de la part de l’UE et de ses États membres, le qualifiant d’échec.
L’envoyé chinois pour l’Eurasie, Li Hui, a discuté du sommet suisse lors d’une tournée européenne, proposant l’inclusion de la Russie dans les négociations mais soulignant les deux conditions préalables de Moscou, la fin des expéditions d’armes occidentales vers l’Ukraine et l’annulation du décret du président ukrainien Zelensky déclarant les négociations avec la Russie. Le président Poutine est impossible.
Des sources européennes estiment que ces conditions ne seront probablement pas remplies, tout en affirmant que la participation de la Russie aux négociations dépend du retrait des troupes d’Ukraine. Le diplomate français a exprimé son scepticisme quant à la volonté de Moscou de participer de manière constructive.
Li a souligné que le sommet ne devait pas être perçu comme imposant un plan à la Russie et s’est positionné comme une partie neutre dans le conflit. Même si la Chine a exprimé son intérêt à participer aux négociations, son rôle reste flou et elle préfère l’inclusion de la Russie.
La Suisse et la Chine estiment qu’une participation plus large améliorera la productivité des négociations, et l’implication de Pékin est considérée comme cruciale pour attirer d’autres capitaux. La Suisse neutre, avec un historique de médiation, n’est ni membre de l’UE ni de l’OTAN, mais a rejoint les sanctions occidentales contre la Russie.
Le sommet devrait jeter les bases de la paix, en abordant des questions tactiques telles que la sécurité nucléaire, les exportations de céréales et le retour des enfants ukrainiens enlevés. Cependant, l’incertitude demeure quant à savoir si Kiev adresserait une invitation à la Russie.
La récente visite de Li à Kiev comprenait des rencontres avec des responsables ukrainiens, soulignant l’importance du soutien mondial à la formule de paix ukrainienne. Les discussions ont porté sur des sujets tels que la situation sur la ligne de front, les transferts d’armes et les demandes d’assistance ukrainiennes dans divers domaines.
Malgré les appels précédents de Kiev et de l’UE, la Chine a adhéré étroitement à sa propre proposition de paix en 12 points publiée en février 2023.
Les demandes de commentaires des ministères des Affaires étrangères d’Ukraine et de Russie, ainsi que de la mission chinoise auprès de l’UE, n’ont pas reçu de réponse immédiate.
(Avec la contribution des agences)