Customize this title in frenchLa Cour suprême du Canada déclare qu’une « femme » doit être considérée comme une « personne ayant un vagin » dans une affaire d’agression sexuelle

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Ces derniers temps, l’un des débats les plus houleux parmi les activistes du genre, les humanistes et les intellectuels a porté sur le vocabulaire que nous utilisons pour différencier un homme d’une femme. Avec des temps qui changent, où le genre n’est plus limité aux hommes ou aux femmes ; et de plus en plus d’échelons ont été ajoutés à l’échelle du genre et du sexe, il devient également crucial de faire évoluer notre vocabulaire.

À la lumière d’un de ces événements, la Cour suprême du Canada a décidé d’opter pour « personne ayant un vagin » plutôt que « femme » dans une récente affaire d’agression sexuelle.

La juge du plus haut tribunal, la juge Sheilah Martin, a souligné que qualifier la victime présumée de « femme » par un juge d’un tribunal inférieur était « problématique ». Elle a fait valoir que le tribunal inférieur aurait dû utiliser des termes plus appropriés comme « personne ayant un vagin ».

Dans une décision publiée vendredi, la juge Sheilah Martin a écrit que l’utilisation du mot « une femme » par un juge de première instance aurait pu « être malheureuse et engendrer de la confusion ».

« Personne avec un vagin » et non « une femme » : le CS canadien a statué dans une récente affaire d’agression sexuelle

L’affaire portée devant le plus haut tribunal canadien était celle de Charles Kruk, qui aurait été impliqué dans une accusation d’agression sexuelle en 2017 contre Maple Ridge, 34 ans.

« M. Kruk a trouvé le plaignant ivre, perdu et en détresse une nuit au centre-ville de Vancouver », lit-on dans le contexte de l’affaire. « Il a décidé de l’emmener chez lui et a contacté les parents de la plaignante par téléphone. »

La plaignante a témoigné qu’elle s’est réveillée et a constaté que son pantalon n’était pas enlevé et que Kruk la pénétrait par voie vaginale. Kruk a témoigné que le pantalon de la plaignante était enlevé parce qu’elle l’avait enlevé elle-même après avoir renversé de l’eau dessus plus tôt dans la nuit et que ce qu’elle pensait être un viol était en fait simplement Kruk qui l’avait réveillée par surprise.

Le juge Martin était d’avis qu’au lieu d’utiliser le mot « femme », la plaignante, Ridge, a été appelée « personne ayant un vagin », car cela aurait pu créer une confusion quant à la personne à laquelle le mot faisait référence.

Martin, cependant, ne précise pas pourquoi le mot « femme » prête à confusion, mais le passage suivant de sa décision fait référence à la plaignante comme à une « personne avec un vagin ».

Il convient de noter qu’aucune personne dans l’ensemble de l’affaire n’est identifiée comme transgenre et que la plaignante est partout appelée « elle ».

(Avec la contribution des agences)

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