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La présidence belge du Conseil de l’UE adopte une position plus ferme sur la responsabilité des influenceurs pour les contenus partagés en ligne, selon un projet de document daté du 13 mars et consulté par Euractiv.
Le Conseil prépare un document officiel exposant sa position sur l’opportunité et la manière de réglementer les influenceurs et les créateurs de contenu en ligne, un sujet de débat en cours en Espagne, en Italie et au niveau de l’UE.
Le projet consulté par Euractiv indique que le Conseil adoptera une position plus ferme sur les responsabilités des influenceurs qu’on ne le pensait auparavant.
« [Influencers] devraient avoir un sens des responsabilités envers leur public et comprendre l’impact potentiel que les pratiques commerciales, le partage de fausses informations et de désinformations, les discours de haine en ligne, la cyberintimidation et autres contenus préjudiciables peuvent avoir sur leur public et son bien-être », indique le projet.
Dans une précédente version du document, révélée par Euractiv, l’approche envers les influenceurs était moins exigeante en matière de diffusion de contenus préjudiciables.
Le projet de document est à l’ordre du jour de trois réunions du groupe « Audiovisuel et Médias » du Conseil depuis janvier et sera à nouveau débattu le 19 mars.
Le dernier projet appelle la Commission à réfléchir à une approche à l’égard des influenceurs dans « tous les domaines politiques pertinents, en mettant l’accent sur leur comportement responsable ».
Il suggère également que la Commission et les États membres développent une approche politique coordonnée pour « favoriser un comportement responsable des influenceurs envers leur public ».
Portée
La définition des influenceurs dans le document est centrée sur leur impact sur la société, d’où découle leur responsabilité envers leur public.
Les influenceurs sont définis comme « des créateurs de contenu en ligne qui publient du contenu sur les réseaux sociaux ou sur des plateformes de partage de vidéos à travers lequel ils ont un impact sur la société, l’opinion publique ou les opinions personnelles de leur public, souvent mis en valeur par leur relation basée sur l’authenticité avec leur public », indique le projet.
Cette définition se démarque de celle énoncée dans la loi française sur les influenceurs, la première du genre au monde. Le législateur français a défini les influenceurs comme des personnes « qui, en échange d’une rémunération, utilisent leur réputation pour communiquer avec leur public ». [online] public. »
Le document mis à jour du Conseil attribue également la responsabilité du comportement des « kidfluencers », des influenceurs de moins de 18 ans, à leurs parents ou tuteurs, qui « portent la responsabilité de [the kidfluencers’] conduite et bien-être en ligne.
Dans le dernier projet, le Conseil a également élargi ses références aux lois de l’UE qui ont déjà un impact sur les influenceurs.
L’itération précédente citait la directive sur les services de médias audiovisuels, qui impose des exigences de transparence et d’équité dans les communications commerciales audiovisuelles ; la loi sur les services numériques, qui fixe les règles de modération des contenus en ligne ; et une loi européenne sur la concurrence, la directive sur les pratiques commerciales déloyales.
Le projet actuel détaille les obligations et ajoute la loi sur l’intelligence artificielle, qui réglemente les cas d’utilisation de la technologie en fonction du risque attendu ; une deuxième loi sur la concurrence, la directive sur les droits des consommateurs ; et détaille les dispositions de la loi européenne sur la liberté des médias sur la sauvegarde d’un environnement médiatique indépendant et pluraliste.
Le projet précise que « les activités hors ligne n’entrent pas dans le champ d’application des présentes conclusions du Conseil ».
[Edited by Eliza Gkritsi/Zoran Radosavljevic]