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La récente session du Conseil de sécurité des Nations Unies a vu le rejet d’une résolution menée par les États-Unis, plaidant pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza. La résolution, proposée dans un contexte d’escalade des tensions dans la région, visait à garantir un cessez-le-feu de six semaines pour faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire et assurer la protection des civils pris dans le conflit. Cependant, la mesure s’est heurtée à une opposition significative de la part de deux membres permanents du Conseil de sécurité : la Russie et la Chine, qui ont exercé leur droit de veto pour bloquer son adoption.
La résolution dirigée par les États-Unis a soutenu le soutien de 11 des 15 membres du Conseil de sécurité, démontrant un large consensus au sein de la communauté internationale concernant l’urgence de mettre fin à la violence à Gaza.
Malgré ce soutien massif, la résolution a été contrecarrée par les vetos de la Russie et de la Chine, conduisant à une impasse dans les efforts du Conseil de sécurité pour résoudre la crise.
L’ambassadeur américain fustige la Chine et la Russie
En réponse au veto, l’ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, a exprimé sa ferme condamnation, accusant la Russie et la Chine d’entraver les efforts diplomatiques et de donner la priorité à leurs propres intérêts plutôt qu’à l’impératif humanitaire.
Elle a critiqué leur refus de condamner les attaques du Hamas contre Israël et a qualifié leurs actions de « cyniques » et de « mesquines ».
« Malgré toute cette rhétorique enflammée, nous savons tous que la Russie et la Chine ne font rien sur le plan diplomatique pour promouvoir une paix durable ou pour contribuer de manière significative à l’effort de réponse humanitaire », a-t-elle déclaré au Conseil après le vote.
Les États-Unis voulaient que le Conseil de sécurité soutienne un cessez-le-feu pour obliger le Hamas à libérer les otages qu’il détenait à Gaza. Les terroristes palestiniens du Hamas ont tué 1 200 personnes et en ont capturé 253 lors de leur attaque du 7 octobre, selon des données israéliennes.
Cependant, l’ambassadeur de Russie auprès de l’ONU, Vassily Nebenzia, a fait valoir que la résolution soutenue par les États-Unis était politisée et pourrait potentiellement encourager Israël à intensifier ses opérations militaires à Gaza, aggravant ainsi la crise humanitaire.
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À la lumière du veto, les discussions se sont tournées vers des propositions alternatives visant à parvenir à un cessez-le-feu et à s’attaquer aux causes profondes du conflit. Les membres non permanents du Conseil de sécurité, sous la coordination du Mozambique, ont rédigé une résolution alternative soulignant la nécessité d’un cessez-le-feu immédiat pendant le mois sacré musulman du Ramadan, de la libération des otages et d’une aide humanitaire accrue à Gaza.
Même si le rejet de la résolution soutenue par les États-Unis a représenté un revers, les efforts diplomatiques ont persisté, la France s’engageant à collaborer avec la Jordanie et les Émirats arabes unis pour rallier le soutien à une nouvelle résolution alternative aux Nations Unies.
(Avec la contribution des agences)