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En Malaisie, un tribunal a porté plainte contre cinq dirigeants d’une chaîne de magasins de proximité et son fournisseur pour offense aux sentiments religieux. Cela faisait suite à la vente de chaussettes sur lesquelles était écrit le mot « Allah », suscitant l’indignation du public, en particulier parmi les musulmans pendant le Ramadan.
Le directeur général de KK Super Mart et son épouse, directrice de l’entreprise, ont été accusés d’avoir intentionnellement offensé la religion dans ce pays à majorité musulmane, comme le précise un acte d’accusation obtenu par l’AFP.
Trois individus du fournisseur Xin Jian Chang ont été inculpés pour avoir prétendument contribué au crime. Tous ont plaidé non coupables et pourraient être condamnés à une peine maximale d’un an de prison ou à une amende, ou aux deux, s’ils sont reconnus coupables.
KK Super Mart a présenté ses excuses pour les chaussettes, déclarant qu’il prenait l’affaire au sérieux et interrompait immédiatement les ventes. De même, Xin Jian Chang s’est excusé, attribuant les chaussettes problématiques à une expédition plus importante de 18 800 paires commandées auprès d’une entreprise chinoise, dont seulement cinq paires portaient le mot sensible.
Le procureur adjoint Masri Mohamad Daud a annoncé que la prochaine audience aurait lieu le 29 avril et que les cinq dirigeants seraient libérés sous caution. La Malaisie, où l’islam est la religion officielle et où les musulmans malais constituent la majorité, est confrontée à des complexités liées à la race et à la religion.
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L’histoire du pays comprend des émeutes raciales meurtrières en 1969. Les récentes réprimandes du sultan Ibrahim Sultan Iskandar soulignant l’importance de l’harmonie sociale, exhortant les Malaisiens à éviter les discussions sur des sujets sensibles tels que la religion, la race et la royauté. Il a souligné que les erreurs dans ces domaines, qu’elles soient intentionnelles ou non, ne peuvent être tolérées.
(Avec la contribution des agences)