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En France, une jeune fille de 14 ans a été grièvement blessée et laissée dans le coma après avoir été battue devant son école, dans la banlieue de Montpellier, dans le sud du pays. Selon un reportage de l’agence de presse AFP publié jeudi 4 avril, la jeune fille aurait été battue par trois adolescents. Les agresseurs ont été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés de tentative de meurtre sur mineur.
Selon le parquet, la victime est sortie du coma mais a été grièvement blessée lors de l’attaque survenue devant le collège Arthur Rimbaud, mardi 2 avril après-midi. L’un des agresseurs, une jeune fille de 14 ans, se trouvait dans la même école que la victime. Les deux autres assaillants étaient âgés de 14 et 15 ans.
Le gouvernement ordonne une enquête sur l’attaque
La ministre française de l’Éducation, Nicole Belloubet, a ordonné une enquête ministérielle sur l’attaque. « Cette mission aura pour objectif à la fois d’établir la réalité des faits et d’établir les responsabilités », a déclaré le ministre de l’Education Belloubet aux médias locaux, ajoutant que la victime devait connaître la vérité.
Le président Emmanuel Macron a quant à lui exprimé sa solidarité avec la victime mais a appelé à la prudence avant de tirer des conclusions sur les circonstances de l’attaque. « A ce stade, je me garderais de catégoriser les choses et je souhaite que toute la vérité soit établie dans le calme et que les conclusions soient alors tirées », a-t-il déclaré lors d’une allocution télévisée.
La victime a été victime d’intimidation pendant 2,5 ans
La mère de la victime a déclaré lors d’entretiens avec les médias que sa fille avait été victime de harcèlement de la part d’un camarade d’élève pendant deux ans et demi.
Elle accusait cet élève d’être le « commanditaire » de l’agression et affirmait que cette écolière avait été suspendue deux jours en juin de l’année dernière, notamment après avoir publié une photo de sa fille sur les réseaux sociaux appelant à son viol, dit le rapport.
L’attaque est survenue à un moment de tensions accrues dans les écoles en France après l’envoi de dizaines de messages menaçant d’attaques via un système de messagerie interne.
(Avec la contribution des agences)