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MONTRÉAL (Reuters) – Les ouvriers canadiens d’assemblage de l’Airbus A220 ont rejeté dimanche une deuxième offre de l’entreprise, soulevant des inquiétudes quant à la production de cet avion déficitaire.
On estime que 1 300 travailleurs sont impliqués dans les négociations contractuelles. Airbus cherche à accroître la production de son plus petit avion commercial, alors qu’il reçoit une vague plus large de commandes de compagnies aériennes confrontées à un rebond de la demande de voyages suite à la pandémie de COVID-19.
Le syndicat de l’Association internationale des machinistes et des travailleurs de l’aérospatiale, qui souhaite des salaires plus élevés et de meilleures conditions pour les travailleurs de l’usine Airbus de Mirabel, au Québec, a déclaré que 99 % des travailleurs qui ont voté ont rejeté l’offre.
Le syndicat a déclaré que les négociations reprendraient lundi.
Airbus s’est dit déterminé à parvenir à un accord négocié.
« Le dialogue autour de la table a été ouvert et constructif, mais il existe toujours un écart entre les revendications du syndicat et la capacité financière actuelle de l’A220, qui n’a pas encore atteint le seuil de rentabilité », a déclaré un porte-parole d’Airbus.
La productivité a chuté en raison des tactiques de pression du syndicat alors qu’il cherche à conclure un nouvel accord et également en raison de problèmes dans la chaîne d’approvisionnement.