L’article rend hommage à Jack Jones, chanteur connu pour son impact sur la musique easy listening et adult contemporary, ainsi que pour sa longévité artistique. Il évoque ses succès sur les charts, notamment avec des titres comme « The Race is On » et « Wives and Lovers », ainsi que son influence en tant qu’interprète et acteur. Jones a lutté contre le tabagisme, conservant une voix distinctive, et ses contributions à la musique continuent d’être célébrées. Il est décédé d’une leucémie en Californie.
L’équipe de l’Association pour le développement de l’éducation et de la formation des adultes (AEDA) a été constituée par le ministère de l’Éducation nationale, en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle. Jack Jones est décédé d’une leucémie à l’hôpital de Rancho Mirage, en Californie, comme l’a annoncé sa femme, Eleanora Jones, qui a vécu pendant 15 ans dans cet établissement. Jones a rencontré un grand succès dans le classement Hot 100 de Billboard, mais ses meilleurs scores se trouvaient sur ce qui était alors appelé le classement easy listening, désormais reconnu sous le terme adult contemporary. Au cours de sa carrière, il a atteint la première place à trois reprises avec des titres emblématiques comme « The Race is On » en 1965, « The Impossible Dream (The Quest) » en 1966 et « Lady » en 1967.
Particulièrement, « The Impossible Dream », une adaptation de la célèbre chanson de la comédie musicale de Broadway de 1965 « Man of La Mancha », est devenue incontournable, grâce aux nombreuses apparitions télévisées de Jones. Bien que son succès ait culminé à la 35e place du Hot 100, il a dû faire face à une concurrence d’autres morceaux plus jeunes. Stephen Holden, du New York Times, a souligné que son interprétation transformait cette ballade sentimentale en un hymne inspirant à la détermination personnelle.
Le thème de « La croisière s’amuse » a été diffusé par millions d’Américains chaque semaine entre 1977 et 1986. Jones a même fait un clin d’œil à la nostalgie de sa propre carrière en interprétant la chanson dans un caméo mémorable comme chanteur de salon dans le film « Airplane II » en 1982.
Dans les années 60, l’attrait de Jones était considéré comme un peu passé de mode, mais cela a aidé à le verrouiller dans une Amérique encore en transition. Les producteurs d’émissions de variétés savaient que sa présence apportait une certaine chaleur réconfortante à un public qui affrontait des changements de styles musicaux. Ses titres continuent d’évoquer une époque révolue, notamment avec « Lollipops and Roses » utilisé dans la série « Mad Men ».
Toutefois, le charme de Jones n’était pas seulement basé sur la nostalgie. Les amateurs de musique l’admiraient pour sa sensibilité en tant que crooner. Will Friedwald, expert des chanteurs classiques, a noté que ce n’était pas seulement la puissance de son timbre qui impressionnait, mais aussi la façon dont il donnait vie aux paroles. Ce talent s’est intensifié avec le temps.
« Ma carrière a évolué, m’inspirant à chérir les chansons bien écrites et émotionnelles. J’ai été influencé par de grands paroliers tels que Sammy Cahn, Jimmy Van Heusen et Cole Porter, » déclarait-il. Jones se voyait également comme un acteur, bien qu’il n’ait pas poursuivi cette voie avec la même intensité que celle de sa carrière musicale. Il a fait quelques incursions dans le cinéma, notamment une participation à la comédie musicale « Juke Box Rhythm » en 1959 et un rôle dans le film d’horreur « The Comeback » en 1978. Il a également fait un caméo dans « American Hustle » en 2013.
Fils des acteurs Irene Harvey et Allen Jones, dont ce dernier a connu le succès auprès des Marx Brothers, Jack Jones a toujours été en contact avec l’industrie du divertissement. Il a même brièvement participé à un spectacle familial dans sa jeunesse. Après avoir fréquenté l’University High School, il a été influencé par l’exemple de la célèbre chanteuse Nancy Sinatra, qui l’a poussé à poursuivre une carrière musicale.
Jones a débuté sa carrière à la fin des années 1950, principalement avec des enregistrements rockabilly chez Capitol Records. Un tournant important est survenu avec son passage chez Kapp Records, où il a enregistré « Lollipops and Roses », une chanson qui a propulsé sa carrière. Même si elle n’a atteint que la sixième place des charts, le succès a conduit à un Grammy Award en 1962 pour la meilleure performance vocale masculine solo. Son second Grammy a suivi en 1964 pour « Wives and Lovers », un standard écrit par Burt Bacharach et Hal David.
Jones a enregistré un total de