Les réflexions sur la récente nuit électorale révèlent une réaction médiatique surprenante suite à la victoire de Trump, avec des personnalités comme Emily Maitlis et Susanna Reid exprimant des opinions tranchées. Channel 4 et Good Morning Britain montrent des divergences notables, entre colère et déni, illustrant un décalage entre les animateurs et leur public. Cette situation met en lumière un biais médiatique qui semble déconnecté des réalités des électeurs lors des événements marquants.
Réflexions sur une Nuit Électorale Étonnante
En ces temps tumultueux, mes pensées se tournent vers la BBC, Good Morning Britain, Sky News, Alastair Campbell, Carol Vorderman et l’équipe d’America Decides de Channel 4, qui ont tous disparu presque au même instant où Trump a officialisé sa victoire mercredi matin. Un incident déconcertant, sans doute lié à des préoccupations sanitaires et sécuritaires. Emily Maitlis, l’animatrice désinhibée, avait déjà exprimé des opinions tranchées et aurait probablement été prête à attaquer verbalement le républicain le plus proche si elle avait été à l’antenne après 6h15. Ce fut un retrait surprenant, n’est-ce pas ? Après avoir été qualifiée de « l’une des élections les plus marquantes de l’histoire américaine », l’événement était réduit à l’importance d’une rediffusion de Countdown.
Une Réaction Émotionnelle des Médias
Il semblait que Channel 4 avait succombé à une colère typique des lecteurs du Guardian. Sur Good Morning Britain, les réactions à la victoire de Trump variaient de l’indignation frénétique de Susanna Reid, qui a déclaré : « C’EST UN CRIMINEL CONDAMNÉ », au déni perplexe de Noel Phillips, le jeune stagiaire, qui, devant des rangées de chaises vides à la supposée « fête de victoire » de Kamala Harris, évoquait une « ambiance d’espoir », malgré l’absence de participants. GMB semble croire que ses téléspectateurs sont naïfs, mais ceux-ci sont lucides et discernent que l’optimisme aveugle de Noel et la colère des animateurs témoignent d’une émission davantage préoccupée par les opinions de ses présentateurs que par celles de son public. Ce phénomène de biais n’est malheureusement pas unique à GMB, qui semble déconnectée de la réalité lors de chaque élection importante.